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9 septembre 2022 5 09 /09 /septembre /2022 21:22

Biographie d'Élisabeth II, reine d'Angleterre de 1952 à 2022

Élisabeth II, née le 21 avril 1926 à Londres et décédée le 8 septembre 2022 en son château de Balmoral, en Ecosse, a été reine du Royaume-Uni et chef du Commonwealth du 6 février 1952 au 8 septembre 2022. Elle est la fille aînée de George VI, roi du Royaume-Uni de 1936 à 1952, et d'Élisabeth Bowes-Lyon (précédemment duc et duchesse d'York).

À sa naissance, Élisabeth II est troisième dans l'ordre de succession, après Édouard (futur Édouard VIII) et son père.

En 1936, le roi George V meurt et Édouard VIII lui succède. Cependant, celui-ci renonce au trône avant la fin de l'année 1936 pour épouser Wallis Simpson. C'est ainsi que le duc d'York, père d'Élisabeth, accède au trône sous le nom de George VI. Il sera couronné en 1937, sous les yeux de ses deux filles, Élisabeth (devenue héritière du trône) et Margaret Rose (1930-2002).

En 1947, Élisabeth se marie au Lieutenant de la Royal Navy, Philip de Mountbatten, prince de Grèce et de Danemark, puis duc d'Édimbourg, qu'elle avait rencontré en 1939. Le prince Philip meurt le 9 avril 2021, au château de Windsor.

Vers la fin de sa vie, George VI se fait remplacer par Élisabeth lors de ses déplacements à l'étranger. Le 6 février 1952, alors qu'elle est au Kenya avec son mari, Élisabeth apprend la mort de son père : elle devient reine du Royaume-Uni à 25 ans. Elle est couronnée le 2 juin 1953 en l'abbaye de Westminster par Geoffrey Fisher, archevêque de Canterbury.

Son pouvoir étant limité, le principal rôle de la reine Élisabeth II est de représenter le Royaume-Uni, tant au niveau national qu'au niveau international. Cependant, elle ne se limite pas à ce pouvoir représentatif : chaque semaine, le Premier Ministre s'entretient avec la reine sur les sujets importants pour le Royaume. C'est l'occasion pour elle de donner des conseils, voire son avis, à son Premier Ministre, qui le suit ou non.

À la fin de son règne, l'image de la monarchie britannique est très bonne, comme l'a témoigné l'engouement du peuple lors du mariage de son petit-fils William avec Catherine Middleton (désormais duc et duchesse de Cornouailles et de Cambridge) ou du mariage de son petit-fils Harry avec Meghan Markle. Cependant, la monarchie a connu quelques moments difficiles : l'année 1992, annus horribilis comme l'a dit la reine lors de son célèbre discours de novembre 1992, a été marquée par le divorce de ses 3 enfants (le duc d'York, la princesse Anne et le prince Charles) et par l'incendie du château de Windsor qui provoqua une polémique à propos du financement des travaux de reconstruction. Un autre coup dur fut la mort de la princesse Diana, le 31 août 1997, dans un accident de voiture sous le pont de l'Alma à Paris. "Lady Di", ex-épouse du prince Charles, était très appréciée par le peuple et était très engagée dans l'associatif et l'humanitaire.

Le règne d'Élisabeth II est le deuxième plus long de l'Histoire européenne : elle a régné 70 ans et 7 mois. Les règnes les plus longs sont les suivants : Louis XIV, roi de France pendant 72 ans (1643-1715), François-Joseph, empereur d'Autriche-Hongrie pendant 68 ans (1848-1916) et Victoria, reine du Royaume-Uni pendant 63 ans (1837-1901).

En 2012, Élisabeth II fête en grande pompe son jubilé de diamant, c'est-à-dire ses 60 ans de règne. En 2022, le jubilé de platine, qui marque les 70 ans de règne d'Élisabeth II, est célébré avec splendeur et joie, bien que la reine n'y ait fait que quelques rares et brèves apparitions.

La santé de la reine a commencé à décliner quelques mois avant sa mort : à partir d'octobre 2021, elle se déplace régulièrement avec une canne. Deux jours avant sa mort, elle reçoit la nouvelle Première ministre, Liz Truss, en son château de Balmoral, illustrant ainsi, une fois de plus, la promesse qu'elle a faite le jour de ses 21 ans dans une célèbre allocution radiodiffusée : "Je déclare devant vous tous que je consacrerai toute ma vie, qu'elle soit longue ou brève, à votre service et au service de la grande famille impériale dont nous faisons tous partie."

La reine Élisabeth II meurt le 8 septembre 2022 au château de Balmoral, entourée de ses proches. Son fils, Charles, devient roi sous le nom de Charles III. William, duc de Cornouailles et de Cambridge, devient prince héritier du Royaume-Uni.

Les princes William et Harry, petits-fils de la reine Élisabeth, contribuent à moderniser l'image de la monarchie britannique.

Le duc et la duchesse de Cornouailles et de Cambridge ont un fils, George, né le 22 juillet 2013, une fille, Charlotte, née le 2 mai 2015 et un troisième enfant, Louis, né le 23 avril 2018. George sera le successeur de William sur le trône du Royaume-Uni.

La descendance d'Élisabeth II :

Par son mariage en 1947 avec le duc d'Édimbourg, Philip Mountbatten (1921-2021), Élisabeth II a eu 4 enfants. Ils ont plusieurs petits-enfants et arrière-petits-enfants. Voici la descendance de la reine Élisabeth II :

Charles, prince de Galles et héritier du trône, né en 1948. Il épouse en 1981 Lady Diana Spencer (1961-1997), avec qui il eut 2 fils. Il se remarie en 2005 avec Camilla Parker Bowles, avec qui il n'a pas d'enfant.

- William, duc de Cambridge, né en 1982. Il épouse en 2011 Catherine Middleton (aussi connue sous le nom de Kate Middleton), duchesse de Cambridge, avec qui il a 3 enfants :

  • George de Cambridge, né le 22 juillet 2013
  • Charlotte de Cambridge, née le 2 mai 2015
  • Louis de Cambridge, né le 23 avril 2018

- Henry, connu sous le nom de Harry, duc de Sussex, né en 1984. Le 19 mai 2018, il épouse Meghan Markle, devenue duchesse de Sussex. Ils ont un enfant :

  • Archie Mountbatten-Windsor, né le 6 mai 2019

Anne, princesse royale, née en 1950. Avec Mark Phillips qu'elle épouse en 1973, elle a 2 enfants. Après son divorce en 1992, elle se remarie la même année avec Timothy Laurence, avec qui elle n'a pas d'enfant.

  • Peter Phillips, né en 1977, qui épouse en 2008 Autum Kelly, avec qui il a 2 enfants :
    • Savannah Phillips, née en 2010
    • Isla Phillips, née en 2012
  • Zara Phillips, née en 1981, qui épouse en 2011 Michael Tindall, avec qui elle a deux enfants :
    • Mia Tindall, née en 2014
    • Lena Tindall, née en 2018

Andrew, duc d'York, né en 1960. Il épouse en 1986 Sarah Ferguson, avec qui il a 2 enfants. Ils divorcent en 1996.

  • Beatrice d'York, née en 1988 Eugénie d'York, née en 1990

Edward, comte de Wessex, né en 1964. Il épouse en 1999 Sophie Rhys-Jones, avec qui il a 2 enfants.

  • Louise Mountbatten-Windsor, née en 2003
  • James Mountbatten-Windsor, né en 2007, vicomte Severn
https://www.marieclaire.fr/

Les contemporains d'Élisabeth II :

  • Vincent Auriol, président de la France de 1947 à 1954
  • René Coty, président de la France de 1954 à 1958
  • Charles de Gaulle, président de la France de 1958 à 1969
  • Georges Pompidou, président de la France de 1969 à 1974
  • Valéry Giscard d'Estaing, président de la France de 1974 à 1981
  • François Mitterrand, président de la France de 1981 à 1995
  • Jacques Chirac, président de la France de 1995 à 2007
  • Nicolas Sarkozy, président de la France de 2007 à 2012
  • François Hollande, président de la France de 2012 à 2017
  • Emmanuel Macron, président de la France à partir de 2017
  • George VI, roi du Royaume-Uni de 1936 à 1952
  • Charlotte Ière, grande-duchesse du Luxembourg de 1919 à 1964
  • Jean Ier, grand-duc du Luxembourg de 1964 à 2000
  • Henri Ier, grand-duc du Luxembourg à partir 2000
  • Harry Truman, président des Etats-Unis de 1945 à 1953
  • Dwight Eisenhower, président des Etats-Unis de 1953 à 1961
  • John F. Kennedy, président des Etats-Unis de 1961 à 1963
  • Lyndon Johnson, président des Etats-Unis de 1963 à 1969
  • Richard Nixon, président des Etats-Unis de 1969 à 1974
  • Gerald Ford, président des Etats-Unis de 1974 à 1977
  • Jimmy Carter, président des Etats-Unis de 1977 à 1981
  • Ronald Reagan, président des Etats-Unis de 1981 à 1989
  • George H.W. Bush, président des Etats-Unis de 1989 à 1993
  • William J. Clinton, président des Etats-Unis de 1993 à 2001
  • George W. Bush, président des Etats-Unis de 2001 à 2009
  • Barack Obama, président des Etats-Unis de 2009 à 2017
  • Donald Trump, président des Etats-Unis de 2017 à 2021
  • Joe Biden, président des Etats-Unis à partir de 2021
  • Francisco Franco, chef de l'Espagne de 1939 à 1975
  • Juan Carlos Ier, roi d'Espagne de 1975 à 2014
  • Felipe VI, roi d'Espagne à partir de 2014
  • Baudouin, roi des Belges de 1951 à 1993
  • Albert II, roi des Belges de 1993 à 2013
  • Philippe, roi des Belges à partir de 2013
  • Gustave VI Adolphe, roi de Suède de 1950 à 1973
  • Charles XVI Gustave, roi de Suède à parir de 1973
  • Paul Ier, roi de Grèce de 1947 à 1964
  • Constantin II, roi de Grèce de 1964 à 1973
  • Rainier III, prince de Monaco de 1949 à 2005
  • Albert II, prince de Monaco à partir de 2005
  • François-Joseph II, prince de Liechtenstein de 1928 à 1989
  • Hans Adam II, prince de Liechtenstein à partir de 1989
  • Pie XII (Eugenio Pacelli), pape de 1939 à 1958
  • Jean XXIII (Angelo Roncalli), pape de 1958 à 1963
  • Paul VI (Giovanni Battista Montini), pape de 1963 à 1978
  • Jean-Paul Ier (Albino Luciani), pape de 1978 à 1978
  • Jean-Paul II (Karol Wojtyla), pape de 1978 à 2005
  • Benoît XVI (Joseph Ratzinger), pape de 2005 à 2013
  • François (Jose Mario Bergoglio), pape à partir de 2013

Source : https://www.sport-histoire.fr/Histoire/Elisabeth_II.php

Elisabeth II
Prince Philip
Prince Charles
Princesse Anne
Prince Edward

 

 

 

 

 

 

Prince Andrew
Prince Harry
Duchesse Camila
Duchesse Kate
Princesse Diana

 

 

 

 

 

 

 

Prince William

 

 

 

Tous ces coloriages viennent du site : https://www.hellokids.com/

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13 juin 2022 1 13 /06 /juin /2022 20:26

Attention ! Risque d’Hyperthermie

1ère colonne : température extérieure

2ème – 3ème – 4ème et 5ème colonne : température après 5, 10, 30 et 60 minutes dans une voiture (aussi bien pour les bébés, personnes âgées et animaux)

Source :  https://www.facebook.com/Feuerwehr-Rosenberg-217698668437367/?hc_ref=NEWSFEED

 

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12 octobre 2019 6 12 /10 /octobre /2019 17:44

Le procès en béatification des parents de saint Jean-Paul II, Karol et Emilia Wojtyla, a reçu l’autorisation d’être instruit au niveau diocésain à Cracovie. C’est l’information ressortie de l’assemblée plénière de l’épiscopat polonais tenue les 8 et 9 octobre.

« Il ne fait aucun doute que la spiritualité du futur saint Pontife s'est formée dans la famille et grâce à la foi de ses parents », assure le cardinal Stanislaw Dziwisz, ancien secrétaire spécial de saint Jean-Paul II.

Le cardinal polonais s'est dit convaincu que « les parents du Pape polonais pouvaient devenir un exemple valable pour les familles modernes », rappelant que le Pape François, lors de la cérémonie de canonisation de Jean-Paul II, lui avait conféré le titre de « Pape des familles ».

Les parents du futur Pape ont eu trois enfants. Le fils aîné, Edmund, est mort à l’âge de 26 ans alors qu’il exerçait la profession de médecin. Entre lui et Karol Jozef, futur Pape Jean Paul II et saint patron des familles, les parents avaient également eu une fille : Olga, morte quelques jours après sa naissance.

Emilia Kaczorowska, sa mère, est morte quand le futur Pape n'avait que 9 ans. Son père, également appelé Karol, mourut en 1941, pendant la Seconde Guerre mondiale.

Aussi au cours de leur session plénière, les évêques ont également soutenu l'idée que Jean-Paul II devienne le patron de la réconciliation entre les Polonais et les Ukrainiens. La « théologie du dialogue, de la réconciliation et du pardon » promue par le Pape polonais « sur la base des valeurs de l'Évangile » a permis aux deux peuples « de faire des pas importants sur le chemin de la compréhension mutuelle », en ont convenu les évêques.

Source : https://www.vaticannews.va

A lire :  https://issuu.com/feuilletagefleurus/docs/9782728924646_jean-paul_ii

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14 juin 2019 5 14 /06 /juin /2019 07:13

Pour vivre cette première messe célébrée à #NotreDame depuis l’incendie, ce samedi 15 juin à 18h00 branchez-vous sur KTO ou connectez-vous sur www.ktotv.com. KTO est le seul média audiovisuel à pouvoir retransmettre la messe depuis l’intérieur de la cathédrale. Nos équipes sont sur le pont pour cet intense moment spirituel, pour permettre une large communion de prière.... 

 

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21 avril 2019 7 21 /04 /avril /2019 19:45

[Esprit d’équipage] Alors qu’ils sont déployés en océan Indien dans la cadre de la mission #Clemenceau, les marins du porte-avions Charles de Gaulle témoignent leur solidarité à @Paris, leur ville marraine. #NotreDameDeParis

https://twitter.com/MarineNationale

 

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13 juin 2018 3 13 /06 /juin /2018 18:31
Johannes de Habsbourg-Lorraine sera ordonné prêtre le 16 juin 2018 | © Eucharistein

Johannes de Habsbourg-Lorraine, arrière-petit-fils du dernier couple impérial d’Autriche, sera ordonné prêtre le 16 juin 2018 à Vérolliez (VS), au sein de la Fraternité Eucharistein. Parcours atypique d’un “enfant du grand monde” qui a finalement trouvé Jésus auprès des “petits”.

“Mon Père, je m’abandonne à toi. Fais de moi ce qu’il te plaira”. Cette prière du bienheureux Charles de Foucauld est la préférée de Johannes de Habsbourg-Lorraine. Elle reflète au plus près sa trajectoire de vie, profondément marquée par un “lâcher-prise” face à la volonté de Dieu. Un Dieu qui l’a finalement “planté” dans une terre à laquelle sa naissance ne le destinait pas.

Johannes a en effet vu le jour en 1981 au sein d’une des plus fameuses familles d’Europe : les Habsbourg. Une dynastie traditionnellement catholique qui a été déterminante dans l’histoire du continent. Ses arrières grands-parents sont Charles Ier et Zita de Bourbon-Parme, dernier couple impérial d’Autriche. La Suisse a été leur premier pays d’exil, après la chute de la monarchie austro-hongroise en 1918. Charles Ier mourra sur l’île portugaise de Madère, en 1922, et sera béatifié par saint Jean Paul II à Rome, en 2004. Zita, après maintes péripéties à travers le monde, finira ses jours à Zizers, dans les Grisons, en 1989. Son procès en béatification a été ouvert en 2008.

Un Dieu présent, mais pas encore dans la vie concrète

Dispersés ensuite dans le monde, certains Habsbourg sont revenus en Helvétie. C’est le cas de la branche à laquelle appartient Johannes. Il passe ainsi la plus grande partie de son enfance dans le village fribourgeois de Torny-le-Grand. Son père travaille à Fribourg. Sa famille est profondément pratiquante, assistant à des messes même en semaine. Mais pour Johannes, la figure de Jésus se résume alors à une connaissance notionnelle. “J’étais pieux. J’allais à la messe et je priais, mais sans réellement savoir que le Christ est vivant, qu’il s’est incarné pour être réellement avec nous”, admet-il.

Coup d’œil sur la “vanité du monde”

Johannes a, à ce moment de sa vie, d’autres préoccupations en tête que la religion. Il ambitionne de faire carrière dans le monde de la finance. Après avoir fait ses classes à Romont, puis au collège St-Michel de Fribourg, il commence des études d’économie à l’Université de St-Gall. À seulement 23 ans, il intègre une banque parisienne spécialisée dans les fusions-acquisitions. Prestige, argent, visibilité, il y trouve ce qu’il cherchait.

Mais au fond de lui, quelque chose ne va pas. “J’étais entouré de gens ouverts et sympathiques, dans une bonne ambiance. J’avais beaucoup d’amis. Mais je me sentais en même temps très seul et j’avais un profond sentiment de manque intérieur”. Dans ce milieu où l’amour n’est jamais réellement gratuit, il acquiert une “compréhension de la vanité du monde”. “Il n’y a rien de mal à faire de la finance, mais j’ai saisi que l’on ne peut pas mettre toute sa vie, toute sa confiance là-dedans”. Il quitte la banque parisienne après un an pour se consacrer totalement à une autre quête : celle du sens.

“Dis à Jésus de venir dans ton cœur”

Son père, Rodolphe d’Autriche, engagé à l’institut Philanthropos, à Fribourg, l’invite alors à passer un jour sur place. Un “nouveau monde”, où il rencontre des personnes pour lesquelles “Dieu est tout”. Il comprend alors encore plus profondément que son cœur a soif du Christ et décide d’entreprendre des études à l’institut sis sur la colline de Bourguillon.

Au cours de son cursus, il a une discussion décisive avec sa petite sœur, Marie-des-Neiges, qui, à seulement 17 ans, “a fait une rencontre personnelle avec Dieu”. “Dis à Jésus de venir dans ton cœur”, lui suggère-t-elle. Une phrase qui suscitera en lui une supplication intérieure, jusqu’à ce matin d’octobre 2005, où il officie comme servant de messe, à la chapelle de Philanthropos. Il ressent alors, dans une incroyable joie, l’amour que le Christ lui porte. “J’ai eu une soudaine connaissance existentielle que Jésus était tout et que j’étais fait pour lui”. Une expérience qu’il décrit comme indicible. “Je savais à partir de là que dans les plus grands moments de doute et de peur, je pourrais toujours revenir à ce point”. L’idée de devenir prêtre commence alors à germer en lui. “J’ai toujours eu le goût de l’extrême. Cela a été le cas pour ma carrière dans la banque. Cela a aussi été le cas avec ma ‘carrière’ spirituelle. Je voulais tout donner à Jésus”.

Premier “agenouillement”

Dès le début de ses études à Philanthropos, il se rapproche de la Fraternité Eucharistein, basée en Valais. Il est impressionné par la ferveur, l’adoration, l’accueil des pauvres qui règne parmi ses membres. Il décide alors de faire une année sabbatique dans la communauté. Direction Château Rima, dans le sud de la France.

Dès le premier soir, il y fait une rencontre déterminante pour son cheminement spirituel. David est un jeune marginal passé par la drogue et les hôpitaux psychiatriques. Ce jeune homme qui lui paraît d’abord “très étrange” lui parle pendant des heures de sa passion pour Star Wars. “Je me suis demandé comment j’allais pouvoir passer une année avec ce type. Il était aux antipodes des milieux que je fréquentais d’habitude”. Un défi pour Johannes, qui sent pour la première fois de sa vie son incapacité viscérale à aimer son prochain en vérité. Il crie alors vers Dieu pour Lui demander la grâce de pouvoir dépasser cet égocentrisme. “Cela a été pour moi un premier ‘agenouillement'”. Finalement, une belle et durable amitié s’est créée entre lui et David. Johannes deviendra notamment son parrain de confirmation. Il lui a promis de faire son possible pour venir à son ordination à Vérolliez.

S’abandonner à Dieu

En 2011, retour sur les bancs de l’uni. À Fribourg cette fois, jusqu’à l’obtention d’un master en théologie, en 2015. Son mémoire de fin d’études s’intitule “La menace divine”. “Beaucoup de personnes, explique-t-il, craignent de s’abandonner totalement à Dieu dans leur vie concrète, car elles ont peur d’avoir à renoncer à leurs certitudes et à leurs acquis. La Bible aussi est bourrée de ces lieux où Dieu paraît être une menace pour son élu. Mais Dieu s’avère finalement comme l’Infiniment Bon, celui qui seul peut en vérité ressusciter l’homme”.

De retour à temps complet dans la Fraternité Eucharistein, Johannes a beaucoup d’autres rencontres avec ces “petits” dont parle l’Évangile. L’une des missions que s’est donné la communauté est en effet d’accueillir et de soutenir les “oubliés” de la société. Muni d’une sensibilité intellectuelle et artistique, il est amené à réaliser avec eux des tâches principalement manuelles. Des occupations et des fréquentations qu’il y a encore dix ans, il n’aurait jamais pensé avoir. “Dieu m’a pris à contre-pied. Il m’a dit, comme pour Abraham ou Moïse, ‘quitte ta terre’. J’ai compris qu’il m’avait ‘planté’ dans cette terre nouvelle, où je pouvais donner les meilleurs fruits”. (cath.ch/rz)

Vœux définitifs dans la Fraternité

Johannes de Habsbourg réside depuis un an dans la maison d’Eucharistein à St-Jeoire, en France voisine. Il sera ordonné prêtre le 16 juin 2018, à Vérolliez, sur le champ des martyrs, juste à côté de l’Abbaye de Saint-Maurice. Didier Berthod sera également ordonné dans la communauté Eucharistein. Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon et prélat référent de la Fraternité présidera la cérémonie.

Dans la foulée, les vœux définitifs seront prononcés en même temps par 16 membres de la communauté, dont son fondateur Nicolas Buttet. En effet, la Congrégation pour les instituts de vie consacrée a autorisé les membres d’Eucharistein à faire leurs vœux définitifs dans la Fraternité : une nouvelle étape dans les démarches pour sa reconnaissance canonique.

Johannes confie sa hâte de renforcer encore son engagement envers son prochain, l’Église et la Fraternité. Il souhaite se mettre pleinement au service du charisme particulier d’Eucharistein, qui implique le développement de la foi à travers la vie communautaire, la dévotion eucharistique, ainsi que le partage de vie avec les personnes en difficulté.

Source : https://www.cath.ch par Raphaël Zbinden.

 

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3 mars 2018 6 03 /03 /mars /2018 21:31

Le pape François a décidé l’inscription au calendrier romain de la mémoire de la bienheureuse Vierge Marie, Mère de l’Église, a annoncé le Bureau de presse du Saint-Siège le 3 mars 2018. Cette décision, établie par un décret publié par la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements a pour objectif de développer la “vraie piété mariale“.

La mémoire de la bienheureuse Vierge Marie, Mère de l’Eglise, inscrite au calendrier romain (© Pierre Pistoletti)

À partir de cette année, tous les diocèses et les paroisses célébreront tous les ans la fête de “la bienheureuse Vierge Marie, Mère de l’Église“, le lundi de la Pentecôte. Cette célébration officielle souligne une caractéristique de la Vierge Marie, qui est à la fois mère du Christ et de l’Église.

Déjà présente dans la foi chrétienne des premiers siècles, avec saint Augustin et saint Léon le Grand, puis reprise par les auteurs spirituels et les papes, cette qualification de la Vierge Marie comme Mère de l’Église avait été établie officiellement par Paul VI en 1964, à la fin du concile Vatican II. Dès lors, certains pays, comme la Pologne ou l’Argentine, avaient inséré cette célébration dans leur calendrier local. Ainsi que dans certains lieux comme la basilique Saint-Pierre, où Paul VI avait annoncé sa décision.

Désormais étendue à l’Église universelle comme une fête d’obligation – une mémoire – cette célébration comprendra des lectures propres, notamment celle de l’Évangile selon saint Jean où le Christ en croix affirme à Marie et Jean : “Femme, voici ton fils“, “Fils, voici ta mère“ (Jn 19, 25-34). Dorénavant, tous les calendriers et les livres liturgiques devront donc faire apparaître cette mémoire pour la célébration de la messe et la liturgie des heures. La lecture du bréviaire comprend le texte de la proclamation de Paul VI.

Mystère de la Croix

Le Souverain pontife, affirme ce décret, espère que cette mémoire favorisera “la croissance du sens maternel de l’Église“ et une “vraie piété mariale“. Cette célébration, explique aussi le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation, aidera à “nous rappeler que la vie chrétienne, pour croître, doit être ancrée au mystère de la Croix, à l’oblation du Christ dans le banquet eucharistique et à la Vierge offrante, Mère du Rédempteur et de tous les rachetés“.

Le décret a été signé le 11 février 2018, fête de Notre-Dame de Lourdes. Les textes liturgiques, ainsi que leurs traductions approuvées par les conférences épiscopales, seront publiés après la confirmation du dicastère.

Source : https://www.cath.ch

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12 février 2018 1 12 /02 /février /2018 21:04

Mgr Jacques Benoit-Gonin, évêque de Beauvais, a annoncé ce dimanche que la guérison d’une religieuse du diocèse, originaire du Nord, relevait bien du miracle.

Sœur Bernadette Moriau, née dans le Nord en 1939, est entrée à 19 ans au couvent dans une congrégation de franciscaines et devient infirmière en 1965. Dès 1966, à 27 ans, elle ressent des douleurs lombo-sciatiques et malgré quatre interventions chirurgicales ne peut plus exercer comme infirmière et marcher normalement.

Sœur franciscaine Oblate du Sacré-Cœur de Jésus, souffrait d’une paralysie partielle depuis plus de quarante ans, atteinte du syndrome de la queue-de-cheval.

En 2008, elle s’est rendue à Lourdes en pèlerinage, pour la première fois en tant que malade, explique-t-elle dans une vidéo publiée par le diocèse. « Dans la grotte, j'ai ressenti la présence mystérieuse de Marie et de la petite Bernadette (…). En aucun cas, je n’ai demandé la guérison, mais la conversion du cœur et la force de poursuivre mon chemin de malade ».

De retour dans sa communauté, près de Beauvais, pendant un temps d’adoration, elle ressent « ..une sensation de chaleur et une détente de tout [son] être ». Dans un communiqué diffusé ce dimanche, Mgr Jacques Benoit-Gonin, évêque de Beauvais, raconte : « Revenue dans sa chambre, elle se sent appelée à quitter ses appareils : corset, attelle de jambe, arrêt du neurostimulateur. Dans la foi, elle s’exécute. Immédiatement, elle se met à marcher sans aide, de manière totalement autonome. Elle en prend à témoin ses sœurs qui ne peuvent que constater le changement ».

La religieuse se rend ensuite chez son médecin puis chez les spécialistes, qui constatent eux aussi la guérison. Suivant la procédure de « constatation et de qualification », Sœur Bernadette Moriau se rend au Bureau médical international de Lourdes. Ce comité constitué par des médecins généralistes et spécialistes de plusieurs pays, a examiné le dossier et, en novembre 2016, conclut que la guérison est « inexpliquée ».

Ensuite, après avoir consulté la commission diocésaine, l’évêque de Beauvais, « observant que la guérison est instantanée, complète, soudaine et durable » a décidé de « déclarer » le « caractère prodigieux-miraculeux » de la guérison « comme signe divin ».

Source : http://www.lavoixdunord.fr

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4 avril 2017 2 04 /04 /avril /2017 13:53

Assemblée plénière de printemps, à Lourdes : communiqué final publié le 31 mars 2017 les évêques ont pris par vote les décisions suivantes :

L’entrée en vigueur de la nouvelle traduction du Notre Père dans toute forme de liturgie publique le premier dimanche de l’Avent 2017 (soit le 3 décembre 2017) ;

Prière du Notre Père

 

Notre Père qui es aux cieux,

que ton nom soit sanctifié,

que ton règne vienne,

que ta volonté soit faite

sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui

notre pain de ce jour.

Pardonne-nous nos offenses,

comme nous pardonnons aussi

à ceux qui nous ont offensés.

Et ne nous laisse pas entrer

dans la tentation, 

mais délivre-nous du Mal.

Amen

 

Adoption de la charte pour l’accueil des prêtres Fidei Donum dans les diocèses français ;

Adoption d’un nouveau dispositif triennal relatif au Denier de l’Église (action de communication nationale et mesures de soutien aux diocèses) ;

Ouverture de la cause, en vue d’une éventuelle béatification, de Marie-Mélanie ROUGET (en poésie Marie-Noël) ;

Ouverture de la cause, en vue d’une éventuelle béatification et de l’éventuelle reconnaissance du martyre de François MOURIER et de ses compagnons mis à morts au Puy-en-Velay pendant le « Grande Terreur » ;

Accord pour que la Basilique Sainte Marie-Madeleine de Saint-Maximin la Sainte-Baume reçoive le titre de Basilique mineure.

Source : http://ursulines.union.romaine.catholique.fr/La-nouvelle-traduction-du-Notre-Pere

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7 novembre 2016 1 07 /11 /novembre /2016 20:45

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Les évêques de France réunis en Assemblée plénière à Lourdes ont consacré ce lundi 7 novembre 2016 à la pénitence et la prière pour les victimes de pédophilie. En milieu de journée, ils se sont retrouvés pour la messe en la Basilique du Rosaire. Homélie de Mgr Crépy, évêque du Puy et président de la Commission de Lutte Permanente contre la Pédophilie de la conférence épiscopale française.

Chers amis,

Les paroles du Christ nous touchent tout particulièrement ce matin par leur actualité et par leur vérité : « il est inévitable que surviennent des scandales, des occasions de chute mais malheureux celui par qui cela arrive ! » (Luc 17, 1) Oui, il nous faut oser regarder en face les scandales du péché qui atteignent l’Église tout entière. Oui, il nous faut sortir du trop long silence coupable de l’Église et de la société et entendre les souffrances des victimes : les actes pédophiles, ces crimes si graves, brisent l’innocence et l’intégrité d’enfants et de jeunes. Oui, il nous faut oser prendre tous les moyens pour que la Maison Église devienne un lieu sûr. Oui, il nous faut comme le demande le pape François, « demander pardon pour les péchés commis par les autorités ecclésiastiques qui ont couvert les auteurs d’abus et ignoré la souffrance des victimes ».

Quand il s’agit des plus fragiles, des plus faibles, des « petits », Jésus parle haut et fort. Ainsi les enfants sont la figure même des vrais disciples : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le Royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent ». (Mc 10, 14) D’où, dans l’Évangile que nous venons d’entendre, cette condamnation si claire et si vigoureuse de ceux qui scandalisent et méprisent les petits : « Il vaut mieux qu’on lui attache au cou une meule en pierre et qu’on le précipite dans la mer, plutôt qu’il ne soit une occasion de chute pour un seul des petits que voilà ». (Luc 17, 2). Il n’y a pas d’excuses ou de demi-mesures pour les actes commis sur un seul de ces petits ! Il y a cette condamnation sans appel du Christ face au scandale vis-à-vis d’un seul de ces petits. L’Évangile ne transige pas avec ce qui porte atteinte et méprise la dignité de tout homme, et plus encore quand il s’agit des plus faibles.

Ainsi Jésus invite ses disciples à la vigilance : « Prenez garde à vous-mêmes : » (Luc 17, 3). Tenez-vous sur vos gardes, gardez votre cœur en éveil, maintenez vive votre volonté et forte votre conscience face à ce mal qui brise la vie d’un être fragile. Ce mal, nous avons pu en être complices, nous évêques, par notre silence, notre passivité ou notre difficulté à entendre et à comprendre la souffrance que nous pensions oubliée chez ceux qui avaient été blessés dans leur chair, il y a longtemps. Nous avons voulu sans doute sauvegarder l’image de respectabilité de l’Église, par peur du scandale, en oubliant qu’elle est sainte et composée de pécheurs. En cela, nous avons failli à notre mission en n’étant pas meilleurs que le reste de la société qui gardait aussi le silence.

Dans l’Évangile, face à ceux qui commettent le scandale, Jésus en vient à parler du pardon : il nous demande d’interpeller vivement le frère qui a péché, de l’inviter à reconnaître sa faute, aussi grave soit-elle, et, seulement alors, s’il se repent, de lui pardonner. « Si ton frère a commis un péché, fais-lui de vifs reproches et, s’il se repent, pardonne-lui ». (Luc 17, 3) Par deux fois, Jésus affirme que le pardon ne peut être accordé au pécheur que s’il se repent. Ce pardon, comprenons bien que pour les victimes, il est souvent si difficile, parfois impossible, à donner. Car ce pardon s’écrit au terme d’un long chemin, dans la mémoire douloureuse des souffrances qu’ont vécues les victimes. Pardonner n’est pas oublier. Pardonner demande, d’abord, ce temps nécessaire où peu à peu se fait la vérité, où peu à peu des mots sont possibles pour dire l’indicible douleur, où la justice et le droit sont convoqués et désignent clairement la faute et le coupable. Pardonner est en premier lieu l’affaire des victimes, mais cela n’est possible que si les auteurs sortent de tout déni, prennent véritablement conscience du mal commis et manifestent un repentir qui ne soit pas seulement des mots, mais une profonde repentance et une volonté ferme d’un travail profond sur eux-mêmes.

Ainsi frères et sœurs, en écoutant le Christ nous parler ainsi du scandale, du mépris des plus petits mais aussi du pardon et de la repentance des pécheurs, nous avons envie de dire – peut-être même de supplier – comme les disciples : « Augmente en nous la foi ! » (Luc 17, 5) Chez Luc, la foi peut déraciner les arbres, chez Matthieu et Marc la foi peut déplacer les montagnes. Aussi petite qu’un grain de moutarde, la foi au Christ, peut nous aider à déraciner l’arbre du mal qui parfois pousse sans vergogne dans nos communautés. La foi au Christ peut nous aider à transporter les montagnes qui obscurcissent la lumière dans notre Église et barrent le chemin de la vie. La foi au Christ, mort et ressuscité pour le pardon de nos péchés et le salut de tous, est une force qui nous donne d’avancer sur un chemin de purification, sur un chemin de justice et de vérité face aux abus sexuels, sur un chemin où la souffrance des victimes est pleinement entendue. Ce chemin demande beaucoup d’écoute et d’attention. Et nous, évêques, nous devons nous y engager fermement et prendre toute notre part à cette lutte contre ces actes scandaleux et criminels qui touchent les plus petits.

Alors, faisons nôtre cette prière :

Seigneur, fais de ton Église un lieu de vérité et de liberté, de justice et de paix, pour que l´humanité tout entière renaisse à l´espérance. Amen.

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16 novembre 2015 1 16 /11 /novembre /2015 09:31

C'est en quelque sorte une «prière laïque». Elle permet à un groupe, une société, une nation de se recueillir au même moment. À l'instar du deuil national, la minute de silence peut être décrétée par le chef de l'État pour l'ensemble du pays.

En France, la première minute de silence «officielle» date du 11 novembre 1919, à l'occasion du premier anniversaire de l'armistice. La loi relative à ce sujet a été votée quelques jours avant les célébrations de la fin de la Grande guerre, le 25 octobre 1919, et promulguée par le président du Conseil Raymond Poincaré. Elle doit servir de commémoration et glorification des morts pour la France. À l'origine, elle est uniquement destinée à l'anniversaire de l'armistice.

Désormais démocratisé, le procédé a perdu son sens originel. En 2012, une loi est venue moderniser la minute de silence en la destinant à «tous les morts pour la France, d'hier comme ceux d'aujourd'hui, civils et militaires».

Les minutes de silence s'observent désormais dans des moments symboliques divers. Elles ont lieu dans les stades lors de grandes rencontres sportives, au Parlement lors de séance plénière. Lundi midi, tous les lieux publics devront respecter ce moment de recueillement, dans les entreprises, les établissements scolaires, les administrations. Les transports en commun ont coutume de s'arrêter exceptionnellement aussi le temps d'un instant, comme ça avait déjà été le cas le 8 janvier dernier, au lendemain des attentats contre Charlie Hebdo.

Parmi les minutes de silence solennelles marquantes, on compte aussi celle qui s'est observée autour des chefs d'État réunis à Paris le 11 janvier ou encore le 20 mars 2012, en hommage aux victimes de la tuerie de Toulouse. Dernièrement, une minute de silence avait été rendue par les députés en hommage aux victimes des attentats de Tunis ainsi qu'à celles de l'accident de car en Gironde. Trois minutes de silence avaient également été observées en France, comme dans de nombreux autres pays, le 14 septembre 2001, trois jours après les attentats du World Trade Center à New York.

Chaque pays a sa tradition. Au Royaume-Uni par exemple, la minute de silence dure en fait deux minutes. L'une est en hommage aux morts, l'autre aux survivants.

Source : http://www.lefigaro.fr/

 

Les hommages continuent

Les hommages et la minute de silence
Les hommages et la minute de silence
Les hommages et la minute de silence
Les hommages et la minute de silence
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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 08:30

En me réveillant ce matin, l'horreur est venue à mes oreilles. La France est sous le choc et moi aussi. Je ne peux trouver les mots mais je souhaite par ma simple voix présenter mes sincères condoléances aux membres des familles en deuil. Jackie.

 

Radio Vatican : suite aux attaques terroristes survenues à Paris le 13 novembre au soir, le cardinal André Vingt Trois, archevêque de la capitale a publié un message dans lequel il précise qu'une messe sera dite en mémoire des victimes dimanche dans la cathédrale Notre-Dame. Voici l'intégralité de ce message :

"Notre ville de Paris, notre pays, ont été frappés hier soir avec une sauvagerie et une intensité particulières. Après les attaques de janvier dernier, après l’attentat de cette semaine à Beyrouth et tant d’autres au long de ces derniers mois, notamment au Nigéria et dans d’autres pays d’Afrique, notre pays connaît à nouveau la douleur du deuil et doit faire face à la barbarie propagée par des groupes fanatiques. Ce matin, je prie et j’invite les catholiques de Paris à prier pour celles et ceux qui ont été tués hier et pour leurs familles, pour les blessés et pour leurs proches et pour ceux qui s’activent pour venir à leur secours, pour les forces de l’ordre soumises à une redoutable tension, pour nos gouvernants et pour notre pays afin qu’ensemble nous demeurions dans l’unité et la paix des cœurs. Je demande aux paroisses de Paris de se conformer strictement aux mesures de prudence édictées par les autorités publiques. Je leur demande de faire de cette journée et celle de demain dimanche des journées de deuil et de prière.

Face à la violence des hommes, puissions-nous recevoir la grâce d’un cœur ferme et sans haine. Que la modération, la tempérance et la maîtrise dont tous ont fait preuve jusqu’à présent se confirment dans les semaines et les mois qui viennent ; que personne ne se laisse aller à l’affolement ou à la haine. Demandons la grâce d’être des artisans de paix. Nous ne devons jamais désespérer de la paix, si on construit la justice."

+ André cardinal Vingt-Trois, archevêque de Paris

 

Après les attentats sanglants de Paris, de nombreuses villes se sont mises aux couleurs du drapeau français en signe de solidarité. De New York à Sydney, de Taïpeh à Mexico en passant par Varsovie ou Berlin, le monde s'est paré des couleurs tricolores.

Des hommages de + en + nombreux, celui-ci vient d'Italie

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