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La Toussaint est la fête de tous les saints. Chaque 1er novembre, l’Église honore ainsi la foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.
Vous trouverez les horaires pour tout le Diocèse de Tulle ICI.
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La Toussaint est la fête de tous les saints. Chaque 1er novembre, l’Église honore ainsi la foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.
Vous trouverez les horaires pour tout le Diocèse de Tulle ICI.
Il était une fois, minuscule, presque invisible, transparente, une petite goutte d’eau tombée des cieux sur une rose.
– Vous êtes bienvenue, fit la fleur dans un soupir ! Ma beauté se fanait, mon pied se desséchait … le soleil est trop cruel …j’allais mourir … Mais toute seule, vous ne pourrez me sauver la vie. Êtes-vous ma messagère de milliers d’autres, non ? Mais, comment t’appelles-tu ? Son nom ? C’était la première fois qu’on lui posait pareille question.
– Mon nom, songea-t-elle ?…Voyons, je viens d’une source mais je ne suis pas elle. Je fais partie de la Vie puisqu’avec moi, par moi, je la fais éclore, la Vie, du milieu de la Mort et de sa pourriture … Je la fais croître, la soutiens, l’entretiens. Par moi, la Vie des hommes, oui, et des animaux, des plantes et des céleste espaces … mais je ne suis pas la Vie.
L’Eau, silencieuse et tremblante n’avait encore rien répondu que la rose éternua et mourut. Le soleil à nouveau l’aspira dans un nuage lourd et gris qui mit le cap sur l’océan vert. Un Feu rapide et tonitruant transperça tout à coup le nuage qui s’épancha sur les flots agités, crêtés d’écume blanche. Avec des milliers et des centaines de milliers de ses compagnes, la petite goutte d’Eau fut précipitée dans l’océan noir. Elle trembla devant les gouffres marins, fut brassé par des courants glacés, frôla les squales et les cétacés, rejaillit dans les airs et retomba sur la pointe d’une vague longue et maternelle.
– Bonjour ! fit la vague. Tu as gardé le soleil dans tes yeux. Quel est ton nom ?
– Encore ! se dit la voyageuse. Il me faut cette fois donner réponse à une femme si sereine. Voyons … je suis dans l’énergie des vents et des mers. Je suis née d’une Source, du fin fond d’un autre Secret minéral, dans la pureté du cristal enfoui. J’ai dévalé les montagnes, les ravins, les campagnes. La Terre meuble et chaude m’accueillit. Et j’ai connu ce petit grain si noir, si sec et desséché qu’il semblait mort. Je le caresse, l’étreins et réveille son germe endormi. La Vie me porte et je transporte la Vie. Mais je ne suis pas la Vie.
Un grand vent, à nouveau, souleva la vague jusqu’à étirer sa chevelure dans les airs. D’un grand coup de rire elle fit sauter et rebondir notre voyageuse au front si réfléchi. Poussière d’Eau et de Lumière, elle s’envola vers l’azur, en criant à la vague au sourire d’émeraude :
– Je sais : mon nom est Liberté !
Un vieux rocher millénaire grommela : – Ben oui : le don multiplié de Dieu !
Et c’est pourquoi, aujourd’hui encore, les Bretons se rassemblent sur les grèves, dans le grand vent qui fait se balancer les rubans, les bannières et crier les petits, pour rendre grâces au grand Dieu qui leur confia les vents, les eaux, les mers et les blés pour nourrir leur liberté. Et devant les calvaires, cela prend nom de « pardon ».
Source : https://morandais.wordpress.com/2013/11/01/conte-pour-la-toussaint/
Vous trouverez dans ce dossier comment célébrer la fête de la Toussaint pour les plus jeunes. Voir le Fichier : La_Toussaint.pdf Un beau travail fait par le Diocèse de Cambrai.
Source : Magnificat junior
Expliquons la visite au cimetière à nos enfants, voir le : Voir le Fichier : La_fete_de_la_Toussaint.pdf
Une longue et lente procession monte vers le cimetière derrière le cercueil. C’était un parent, un ami, un voisin… Ils ont laissé le champ ou l’atelier. Le travail peut toujours attendre quand un mort appelle au rendez-vous.
Au cimetière, après une dernière bénédiction, tous vont sur "leur" tombe, avant de s’en aller et cette étrange dispersion redonne vie en un instant aux milliers de visages enfouis au cours du siècle en cette terre. Aussi longtemps qu’un visiteur les nomme par leur nom, les morts sont vivants. Et leurs noms sont gravés sur une croix. Depuis plus de 2000 ans, depuis que Jésus est mort, la Croix ne porte plus que des vivants que le Père appelle par leurs noms. Nous sommes de leur race ; ils nous ont donné la vie ils ont trouvé la vie ; ce sont les saints de tous les jours ; c’est la Toussaint.
Qu’ont-ils fait d’extraordinaire ? A première vue, rien ! Ils ont vécu, souffert, aimé, travaillé… Ils ont donné le meilleur d’eux-mêmes ; ils ont été fidèles, même quand leur vie pouvait paraître tourmentée. Les hommes les auraient peut-être condamnés, mais Dieu, lui, connait le fond des cœurs.
Les plus belles fleurs que nous mettrons sur les tombes de nos morts sont la fidélité à l’exemple qu’ils nous ont donné. Sans doute ne ferons-nous rien d’extraordinaire. Mais la sainteté de tous les jours, la fidélité à Dieu et aux frères, vécue à travers les mille misères d’une vie marquée par le péché, nous entraînent vers la compagnie des saints, vers l’éternelle Toussaint.
Henri Caro
Le jeu, L’Oasis n°9 : Tous saints ! Regard sur notre vie et notre mission grâce à la randonnée des Béatitudes.
Cette démarche catéchétique est spécialement conçue pour vivre une rencontre en équipe d’adultes (catéchistes ou accompagnateurs, ou parents) à l’aide de la revue l’Oasis n°9, automne 2018.
Les Béatitudes sont la carte d’identité du chrétien. Chacune est un chemin de sainteté qui nous configure au Christ. Mettons nos pas dans ceux du Christ et cheminons sur le sentier des Béatitudes pour découvrir comment elles nous imprègnent et nous stimulent sur la voie de la sainteté.
Pour cette randonnée, relisons tout d’abord le texte des Béatitudes (Mt 5, 1-12) puis à chaque halte « béatitude » interrogeons-nous en regardant notre vie et notre mission de catéchiste ou d’accompagnateur du catéchuménat :
1. À quel moment de ma vie, de ma mission, avec qui ai-je expérimenté cette Béatitude ?
2. Comment puis-je progresser, grandir dans ma mission et dans ma vie ?
Pour en savoir + cliquez ICI.
J'ai trouvé une petite vidéo sympa qui fera comprendre facilement le sens de la vie.
Source : https://vidadelacer.org/
Il y avait au Japon, un jardinier amoureux. Sa belle était coquette, elle avait de nombreux soupirants et il redoutait de la perdre. Souvent dans le jardin, tout en soignant ses fleurs, il interrogeait le ciel :
- Combien de temps ma bien-aimée me sera-t-elle fidèle ?
- Pourrais-je la garder toujours ?
Bien sûr, le ciel ne lui répondait pas et quand il voyait sa fiancée si belle souriant à tous ceux qui la courtisaient son pauvre cœur était malade. Comment lui, modeste homme de la terre pouvait-il espérer garder pour lui seul cette fleur ravissante dont la vue charmait les princes. La jeune fille entourée de ses admirateurs ne semblait pourtant voir que lui ; pour lui ses yeux étaient plus doux, son sourire plus tendre, pour lui elle chantait ses plus belles chansons.
- Oui, mais pour combien de temps se demandait le jardinier ? Elle est si belle, je suis si pauvre, si modeste. Un jour c’est certain, un de ces princes va me la prendre. »
Pour l’instant la belle lui gardait sa préférence.
- Combien de temps ? Combien de temps ? demandait-il aux fleurs.
- Combien de temps, demandait-il aux arbres ?
- Combien de temps, Rosée du matin ?
- Combien de temps, Ombres du soir ?
Ni l’herbe ni les fleurs, ni les arbres, ni les escargots, ni les coccinelles, ni les vers de terre, ni les légumes, ni les hérissons, jamais aucun des hôtes du jardin ne lui répondait.
Un jour qu’avec angoisse il interrogeait des marguerites, une larme tomba sur une des fleurs et un génie sortit d’une corolle, tout habillé de jaune avec un large col blanc.
- Pourquoi ces larmes gentil jardinier ? Qui d’entre nous t’a fait du chagrin ?
- Personne, jamais personne dans ce jardin ne m’a fait de peine ; c’est vous au contraire qui me consolez.
- Pourquoi, gentil jardinier, as-tu besoin d’être consolé ?
- C’est ma fiancée, Génie des Marguerites ; elle est si belle et moi je suis si pauvre ! Un pauvre petit rien du tout et je voudrais tant qu’elle m’aime toujours !
- Toujours, je ne sais pas, dit le génie en montrant une fleur. Mais je te promets l’amour de ta fiancée pour autant d’années que cette corolle a de pétales. »
Le jardinier cueillit la fleur, compta les pétales, hocha la tête. Alors il prit à son revers une longue épingle et effilocha la corolle. Elle eut bientôt tant de pétales qu’il devint impossible de les compter.
Source : http://rvcontes.blogspot.fr/


L’âme, ce n’est pas un truc invisible qui sort de notre corps quand nous mourons, pour aller vivre avec d’autres esprits volants ! Ce n’est pas non plus l’intelligence de notre cerveau, même si, à chaque seconde, celui-ci réalise des milliers d’exploits étonnants. Car nous sommes biens plus que des machines perfectionnées.
Il y a très longtemps, les Grecs pensaient que l’âme était une sorte de souffle que Dieu envoyait dans nos veines toutes vides et que ça nous rendait capables de le connaître. Finalement, les Grecs n’avaient pas tout à fait tort : il y a bien en nous un souffle, quelque chose qui nous rend libres, capables de comprendre, d’aimer, d’espérer et de croire. Ce souffle nous vient de Dieu. Tous les hommes ont une âme : les bébés, les personnes âgées, les gens en bonne santé, les handicapés, les gens que tu aimes, ceux que tu n’aimes pas… Et notre âme est unique, comme l’Amour de Dieu pour nous.
Source : Le Pèlerin

Il existe en tout plus de 40 000 saints… Soit 40 000 personnalités différentes ! Les plus grands saints ont leur nom dans le calendrier, mais il y en a bien d’autres. Il y a des saints de tous les temps, de tous les pays, des hommes, des femmes, des enfants, des mères de famille et des religieuses, des rois et des mendiants. Les saints ne sont pas parfaits. Ce ne sont pas des super héros. Ils ont simplement essayé d’écouter la parole de Dieu. Car seul Dieu est saint. C’est pour cela qu’il invite chacun de nous à être saint : toi, tes copains, les gens du monde entier… Le jour de ta naissance, tu as peut-être reçu le prénom d’un saint. Tes parents t’ont confié à lui pour t’aider à mieux vivre près de Dieu, chaque jour. Si ton prénom n’est pas celui d’un saint, tu peux choisir un saint que tu aimes bien comme modèle.
Source : Le Pèlerin
En cliquant ici vous trouverez un livre de saints à colorier.
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