À vous tous qui m'avez suivi sur le Blog de Jackie, sur la page Facebook sur Twitter, Pinterest et Instagram, je vous souhaite de tout cœur de Joyeuses Fêtes de Noël et je tiens à vous dire un grand Merci pour l'intérêt que vous portez à tous mes articles.
Voici la recette des « biscuits de la joie », une pâtisserie qui doit son nom à la tradition culinaire à l’école de sainte Hildegarde de Bingen. Nous vous proposons de découvrir la recette de ces petits sablés, très à-propos pour le temps de Noël !
Pour cette période de Noël, quoi de mieux que de se plonger dans une recette empreinte de tradition et de spiritualité ? Les « biscuits de la joie », inspirés des enseignements de sainte Hildegarde de Bingen, raviront vos papilles tout en apportant un peu de sérénité à vos fêtes.
Ces petits sablés aux épices sont parfaits pour célébrer Noël de manière chaleureuse et créative : à accrocher dans le sapin, à offrir dans un joli paquet ou à savourer autour d’une tasse de thé aux épices.
POURQUOI LES « BISCUITS DE LA JOIE » ?
Sainte Hildegarde de Bingen, bénédictine du XIIe siècle, a toujours vu dans l’alimentation une forme de remède naturel. Selon elle, ces biscuits apaisent le cœur, éclairent l’esprit et renforcent le corps. Voici ce qu’elle écrivait :
« Ces petits gâteaux dispersent toute amertume qui est en ton cœur et ils t’apaisent. Ils ouvrent ton cœur et tes cinq sens et te mettent de joyeuse humeur ».
Avec leurs épices (cannelle, muscade et clous de girofle), ces sablés sont une véritable invitation à la douceur et à la convivialité, tout en aidant à la digestion et en réduisant le stress.
L’ÉPEAUTRE : UNE CÉRÉALE AUX BIENFAITS UNIQUES
La recette des biscuits repose sur l’utilisation de la farine d’épeautre, qualifiée par sainte Hildegarde de céréale exceptionnelle :
« L’épeautre est un excellent grain, de nature chaude, gros et plein de force. Il donne un esprit joyeux et met de l’allégresse dans l’esprit de l’homme ».
Riche en tryptophane, un précurseur de la sérotonine, l’épeautre contribue à un bon sommeil et à la régulation des émotions. Une raison de plus pour en faire l’ingrédient principal de vos fêtes !
La recette des biscuits de la joie
Ingrédients :
500 g de farine d’épeautre bio
4 jaunes d’œufs
3 g de sel
180 g de beurre
140 g de sucre de canne
70 g de miel
30 g d’épices pour biscuit de la joie (mélange cannelle, muscade et clous de girofle)
Préparation :
Faites fondre doucement le beurre, puis ajoutez-y le miel, le sucre, les jaunes d’œufs et le sel.
Dans un autre récipient, mélangez la farine et les épices. Incorporez ce mélange sec progressivement au mélange liquide jusqu’à obtenir une pâte homogène.
Pétrissez la pâte, puis étalez-la sur un plan de travail fariné.
Découpez vos biscuits à l’aide d’emporte-pièces aux motifs festifs.
Faites cuire au four préchauffé à 180°C pendant 10 à 12 minutes, en surveillant la cuisson.
Laissez les biscuits refroidir quelques minutes avant de les déguster.
UN MOMENT DE PARTAGE ET DE SPIRITUALITÉ
Dégustez ces biscuits tièdes ou froids, le jour même ou dans les jours qui suivent. À partager en famille, avec des amis ou à offrir, ils deviendront vite un incontournable de vos fêtes de Noël.
Et si vous souhaitez aller plus loin dans la découverte de sainte Hildegarde, ses enseignements sur la nourriture et la spiritualité sont une source inépuisable d’inspiration.
Bonnes fêtes à tous !
Nous espérons que ces biscuits apporteront un supplément de joie et de sérénité à votre Noël.
Plusieurs dizaines de lutins vont s’affairer au secrétariat du Père Noël de La Poste situé Libourne en France. À partir de novembre 2024, ils répondent aux enfants qui auront pris le soin d’écrire à l’adresse du Père Noël. L’occasion de ce petit mot est importante pour exprimer ce qu’ils ont dans le cœur. Et l’envoi du courrier est gratuit.
Différentes adresses du Père Noël possibles pour lui écrire.
Pour que la lettre de votre enfant parvienne au Père Noël, il faut juste en faire mention dans l’adresse. Ainsi toutes ces lettres arriveront à Libourne dans le département de la Gironde.
Voici plusieurs exemples d’adresses pour écrire au Père Noël. À vous de choisir celle que vous souhaitez utiliser.
Père Noël - 1 Rue du Ciel étoilé - Pôle Nord
Papa Noël - Route des nuages - Dans le grand Nord
Monsieur le Père Noël - Avenue des Rennes - Laponie
Père Noël - 33500 Libourne - France
Si vous habitez hors de France, depuis l’étranger mieux vaut indiquer la dernière adresse ci-dessus sur l’enveloppe pour être certain que votre pli arrive bien au secrétariat.
Pas besoin de timbrer la lettre à l’adresse du Père Noël. C’est un service gratuit. Mais pour faire plus vrai vous pouvez tout de même coller pour le moins une vignette autocollante quelconque ou un vrai timbre et même de collection. C’est tout de même chouette que le bonhomme rouge et blanc puisse avoir dans sa collection le beau timbre de votre enfant.
Pour cette année, le service a ouvert. Comme chaque année à pareille époque, vous pouvez dès maintenant l’inscrire sur votre calendrier pour préparer cet instant de fête avec vos enfants.
Il faudra donc poster l’enveloppe avant le 22 décembre pour avoir une réponse. Mais le plus tôt sera le mieux. Car les enfants le savent bien pour la journée de 24 décembre, Il sera très mais alors vraiment très occupé pour faire sa grande tournée de Noël.
Ne pas oublier l’adresse de retour pour la réponse du Père Noël
Vendredi 25 - Voir un premier-né- «Un enfant nous est né»(Is 9, 1-6)
Aujourd’hui, c’est Noël ! Comme Syméon et Anne, je regarde de mes yeux ce bébé, premier-né d’un jeune couple d’inconnus. Je contemple et me réjouis avec les anges.
Samedi 26 - Reconnaître le Christ - En tes mains, Seigneur, je remets mon esprit. (Ps 30, 6a)
Saint Etienne, que nous fêtons aujourd’hui, a vu le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu. Et moi, vais-je, comme Syméon, reconnaître, en ce bébé, le Christ ? Je contemple et me réjouis avec tous ceux qui attendent d’être sauvés.
Dimanche 27- La parole - « L’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau »(Jn 20, 2-8)
Saint Jean, fêté aujourd’hui, commence son évangile en nous parlant du « Verbe fait chair ». Cette parole de Dieu incarnée, Syméon la reçoit dans ses bras. Il se met alors à parler et ses paroles sont toujours chantées dans l’Église durant l’office des complies : « Tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais...» Je contemple et me réjouis avec tous ceux qui terminent leur journée dans la paix et la confiance en prenant la parole comme Syméon.
Lundi 28 - Le glaive -« Le sang de Jésus nous purifie de tout péché »(1 Jn 1, 5 – 2, 2)
Syméon parle à la mère de l’enfant. Il lui annonce des choses terribles. La parole de Dieu se fera glaive à la croix pour mettre au jour la vérité. La parole des hommes se fait parfois aussi glaive mais pour tuer et cacher la vérité, comme le rappelle le massacre des saints innocents. Je contemple ce nouveau-né et prie pour tous ceux que des glaives atteignent.
Mardi 29 - Etonnement -« Lumière qui se révèle aux nations»(Lc 2, 22-35)
A ces paroles de Syméon, « le père et la mère s’étonnaient de ce qui était dit » de leur enfant. Alors, moi aussi, comme eux, j’entends à nouveau les paroles de Syméon, je les laisse résonner, je contemple l’enfant et je m’étonne avec tous ceux qui sont surpris par ce qui est dit.
Mercredi 30 - Délivrance« Elle parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem »(Lc 2, 36-40)
Arrive au Temple Anne, « très avancée en âge », veuve après seulement sept ans de mariage. Elle ne se tient jamais loin du Temple. Je la regarde venir, marcher, regarder l’enfant. Que fait-elle ? Elle loue Dieu et parle de l’enfant « à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. » Et moi, à qui, en attente de délivrance, vais-je parler aujourd’hui de cet enfant
Jeudi 31 - Retour dans la ville -La foi d’Abraham, de Sara et d’Isaac(He 11, 8.11-12.17-19)
Joseph et Marie retournent en Galilée avec leur premier-né. Ils ont accompli ce que la Loi prescrivait : consacrer leur premier-né au Seigneur, offrir deux petites colombes en sacrifice. Ils ont fait comme tout le monde, comme tous les jeunes couples de leur temps. Mais une grande surprise leur est arrivée : Syméon et Anne leur ont dit des paroles qui les ont bouleversés. Mais à notre grande surprise, Joseph et Marie, ont repris la route pour rentrer dans leur ville, comme si de rien n’était. Et saint Luc de préciser que l’enfant grandissait, se fortifiait... comme tous les enfants. Comment mieux dire que l’inouï de Dieu se révèle dans l’histoire d’une famille normale ? La «sainte» famille dit quelque chose de la sainteté de toutes les familles.
Une manière de prier avec la crèche (5/5)
Famille : regarder la famille : un papa — et quel papa, un charpentier qui a fait confiance à sa fiancée enceinte sans qu’il comprenne pourquoi, une maman — et quelle maman, une jeune fille qui a fait confiance à un messager, un bébé — et quel bébé, un enfant qui ne parle pas alors que sa venue dit Dieu-avec-nous. Rassembler la famille et prier ensemble : viens, Seigneur Jésus.
Règles du jeu : disposez toutes les tuiles sur une table à l'envers de sorte que les images ne soient pas visibles. Chaque joueur pioche 6 tuiles, en prenant soin de ne pas les montrer à ses adversaires. Les tuiles restantes sont laissées face cachée sur la table. Le joueur qui détient les deux faces d'une même carte avec la valeur la plus élevée commence. Si aucun joueur n'a cette carte en main, celui qui possède la double carte inférieure va commencer.
Ordre de valeur des images de votre Domino de Noël :
Arbre de Noël : 6
Père Noël : 5
Etoile : 4
Ange : 3
Cadeaux : 2 :
Décorations : 1
Bougie : 0
Ensuite, le joueur qui détient la carte la plus élevée, la pose au milieu de la table. Les autres joueurs poseront à leur tour leurs cartes et ainsi de suite. Si un joueur est incapable de poser une carte, il sera obligé de puiser dans la pioche jusqu’à l’obtention d’une bonne carte. Le joueur qui gagne le jeu est celui qui a le plus petit nombre de cartes en main.
Dès le XIe siècle, dans toute la France, des écrits attestent que des sapins sont installés sous le porche et dans les églises. Un grand cierge est placé au sommet. Pourquoi ? Parce qu’ainsi éclairé, il associe deux symboles religieux, celui de la vie et celui de la lumière. En effet, le sapin reste vert pendant tout l’hiver alors que le reste de la nature semble mort. Il est donc symbole de vie. La flamme du cierge rappelle l’étoile de Bethléem qui éclaire la nuit, comme Jésus en venant dans le monde éclaire tous les hommes.
Crèche
Le mot crèche désigne une mangeoire pour les animaux. Selon l’évangile de Luc, Marie a déposé l’enfant Jésus dans la crèche de l’étable où Joseph et elle avaient trouvé refuge. Les plus anciennes crèches connues datent du Ive siècle. La légende attribue la première crèche vivante à St François d’Assise au XIIIe siècle, en Italie. Les personnages sont ceux qui figurent dans les évangiles : Marie, Joseph, l’enfant Jésus, les anges, les bergers et les mages. Depuis le début du XXe siècle, les santons de Provence sont venus enrichir le nombre des personnages traditionnels. Ces petits sujets d’argile représentent les habitants des villages du Midi apportant leur cadeau à l’enfant Jésus.
La messe de minuit
Pour fêter la naissance de Jésus, la tradition a retenu le milieu de la nuit du 24 au 25 décembre. Pourtant, on ignore le jour et l’heure exacte de la naissance de Jésus. Rien n’en est dit dans les évangiles. La date du 25 décembre a probablement été fixée par les communautés chrétiennes au IIIe siècle de notre ère. A cette date, les Romains fêtaient la naissance du Soleil à l’occasion du solstice d’hiver. C’est l’époque où la durée de la lumière du jour l’emporte sur celle de la nuit. Pour les chrétiens, ce moment était favorable pour célébrer la naissance de Jésus car cette victoire du jour sur la nuit leur rappelait la victoire de Jésus sur la mort. Le milieu de la nuit a été choisi car c’est l’heure qui marque l’arrivée du nouveau jour. Et même si aujourd’hui, la messe n’est pas forcément célébrée à minuit précise, elle reste le moment fort de la fête de la naissance de Jésus.
La couronne de l’Avent
C’est une tradition qui nous vient d’Europe centrale. Elle a maintenant gagné toutes nos régions. Faite de branches de pin ou de paille, cette couronne est décorée de quatre bougies. Le premier des quatre dimanches du temps de l’Avent, on allume la première bougie. Chaque semaine, une bougie supplémentaire est allumée. Ainsi, la nuit de Noël, les quatre bougies brillent ensemble pour annoncer la grande lumière de Jésus venu sur terre. La couronne de feuillage et de rubans qui décore la porte des maisons a un sens un peu différent. Il s’agit d’un signe de paix et d’hospitalité qui nous vient des pays anglo-saxons.
La bûche
Ce gâteau figure traditionnellement au menu de nos repas de Noël. Sa forme allongée rappelle la vraie bûche de bois qu’on faisait brûler autrefois dans la cheminée pendant la veillée de Noël. Elle était choisie avec un soin particulier car elle devait tenir le feu pendant tout le temps de la veillée et brûler encore quand la maisonnée rentrait de la messe de minuit. Ses cendres portaient bonheur et on en gardait jusqu’au Noël suivant pour protéger la maison.
Tiré du merveilleux livre « Le Noël de François d’Assise » du frère Eloi Leclerc – Editions Franciscaines
"L‘arbre de Noël est un « signe et un rappel » de la lumière de Dieu, sans laquelle « les paroles les plus belles et nobles » perdent leur signification et leur lien « avec les exigences de vérité et de responsabilité civile », a expliqué le pape émite Benoît XVI en 2012.
Selon Isaïe, a rappelé le pape émérite, le Seigneur est venu sur terre, dans le mystère de Noël, comme « une grande lumière pour le peuple qui marchait dans les ténèbres ».
Et l’arbre de Noël est « signe et rappel » de cette lumière qui « vient de très haut », et qui non seulement « n’a reçu aucune baisse d’intensité malgré les siècles et millénaires », mais « continue à resplendir » et à « éclairer tout homme qui vient au monde », spécialement ceux qui « traversent des moments d’incertitude et de difficulté », a-t-il ajouté.
À quoi sert cette lumière ? À « dissiper les ténèbres de l’erreur et du péché, apportant à l’humanité la lumière divine », a souligné Benoît XVI, faisant remarquer que lorsqu’on essaie de l’éteindre « pour allumer des lueurs illusoires et trompeuses », alors « s’ouvrent des saisons marquées par des violences tragiques sur l’homme » : « quand on cherche à supprimer le nom de Dieu des pages de l’histoire », naissent alors « des règles tordues », où « même les paroles les plus belles et nobles perdent leur signification ».
Le pape a donné l’exemple des termes « liberté », « bien commun », « justice » : « privés de leur enracinement en Dieu, et dans son amour, ces réalités restent très souvent à la merci des intérêts de l’homme, perdant leur lien avec les exigences de vérité et de responsabilité civile ». Pour le pape aujourd’hui émérite, le sapin de Saint-Pierre « manifeste la foi et la religiosité » des chrétiens qui, « à travers les siècles ont gardé un trésor spirituel important, exprimé dans la culture, dans l’art et dans les traditions locales ». »
Le sens de l’arbre de Noël, par le pape émérite Benoît XVI"
Un petit diaporama vous racontera l'histoire du merveilleux chant de Noël : "Stille Nacht, Heilige Nacht" "Douce Nuit, Sainte Nuit".
Ce mardi soir, des dizaines de Tyroliens ont interprété « Stille Nacht », Douce nuit, place Saint-Pierre. Un hommage à ce célèbre chant de Noël composé il y a deux cents ans cette année.
Mardi soir à la lumière des flambeaux, des dizaines de Schützen ont entonné « Douce nuit ». Ce chant interprété pour la première fois en 1818 est aujourd’hui traduit dans plus de 300 langues. En 2011, il fut même inscrit au patrimoine immatériel de l’UNESCO.
Les Schützen, reconnaissables à leurs tenues traditionnelles, sont issus des régiments d’infanterie s’étant distingués face aux forces de Napoléon, en 1809.
Le célèbre chant est interprété pour la première fois le 24 décembre 1818 dans un petit village d’Autriche, à proximité de la frontière allemande. Le prêtre d’Oberndorf bei Salzburg souhaite apporter du réconfort à ses paroissiens qui ont subi les guerres napoléoniennes. Le père Joseph Mohr sollicite un de ses amis, l’instituteur et organiste Franz Xaver Gruber, pour qu’il mettre en musique les six strophes de «Douce nuit» rédigées par ses soins deux ans auparavant. En son premier Noël, le chant est accompagné à la guitare, l’orgue de l’église de Saint Nicolas n’étant plus en état.
La douceur émanant de « Heilige Nacht, Stille Nacht » est très vite reconnue, notamment par un fabricant d’orgue de passage à Oberndorf bei Salzburg pour réparer l’orgue de l’église. Karl Mauracher décide de le faire jouer dans son propre village. « Douce nuit, sainte nuit » sera ensuite repris par de nombreux chanteurs itinérants, qui le rendront célèbre à travers l’Europe.
Un siècle plus tard, le 24 décembre 1914, le chant autrichien offre même aux soldats des tranchées un moment de grâce, une trêve de Noël. Près d’Ypres sur le front belge, une poignée de soldats allemands allument des bougies et se mettent à entonner « Douce nuit », avant d’être repris par des soldats anglais.
Pour la nouvelle ambassadrice d’Autriche près du Saint-Siège, Franziska Honsowitz-Friessnigg, le succès de cette chanson s’explique justement « par son message de paix ».
:
Nombreux coloriages catholiques et autres, vies de saints et homélies.
Suivez-moi sur FB, X, Pinterest et Instagram (voir icônes en bas de page).
N'oubliez pas de vous inscrire à la Newsletter, c'est gratuit ! Merci à tous !