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22 octobre 2023 7 22 /10 /octobre /2023 17:12

Un jour, Jésus priait en un certain lieu. Quand il eut fini, un de ses disciples lui demanda : « Seigneur, enseigne-nous à prier, comme Jean aussi l'a enseigné à ses disciples ». Jésus leur déclara :

« Quand vous priez, dites : Père, que ton Nom soit sanctifié, que ton Règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour. Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes nous pardonnons aussi à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous laisse pas entrer en tentation ».

Jésus leur dit encore : « Supposons que l’un de vous ait un ami et aille le trouver en pleine nuit pour lui demander : « Mon ami, prête-moi trois pains, un de mes amis arrive de voyage, et je n'ai rien à lui offrir ». Et si, de l'intérieur, l'autre lui répond : « Ne viens pas me tourmenter ! Maintenant la porte est fermée, mes enfants et moi nous sommes couchés, je ne puis pas me lever pour te donner des pains » je vous l’affirme, même s'il ne se lève pas pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu’il lui faut. Eh bien, moi, je vous dis : Demandez, vous obtiendrez ; cherchez, vous trouverez ; frappez, la porte vous sera ouverte. Celui qui demande reçoit ; celui qui cherche trouve, et celui qui frappe, la porte s’ouvre. Quel père parmi vous donnerait un serpent à son fils qui lui demande un poisson ? ou un scorpion, quand il demande un œuf ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père céleste donnera-t-il l'Esprit Saint à ceux qui le lui demandent !

Luc 11, 1-13

Le même texte en PDF ci-dessus en cliquant sur le toutou

 

Explication de la parabole de l’ami importun

Juste avant cette parabole, Jésus venait d’apprendre à ses apôtres la prière du Notre Père. Il prolonge maintenant son enseignement sur la prière de demande : comment prier, quelle attitude avoir.

Devant Dieu, nous sommes comme des mendiants qui avons besoin de tout demander à Dieu (Saint Curé d'Ars). C’est vrai, nous avons besoin de Lui pour tout ce qui nous est nécessaire à la vie, à commencer par l’eau, l’air, la lumière, la nourriture… mais tout autant pour nourrir notre esprit (l’intelligence) et notre âme. Nous sommes entièrement dépendants de Lui.

Mais nous savons aussi qu’Il est infiniment bon, et qu’Il nous aime comme un Père : nous pouvons donc lui demander tout ce nous désirons recevoir. Donc, avoir une attitude de confiance.

Et s’il ne répond pas tout de suite ? Persévérer, renouveler patiemment la demande (comme le visiteur qui dérange son voisin, jusqu’à ce qu’il obtienne satisfaction). Mais persévérer dans notre demande avec patience, jusqu’à ce que nous ayons obtenu ce que nous avons demandé.

Source : http://www.prierenfamille.com

 

 

Prière du Notre Père

Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié,

que ton règne vienne, que ta volonté soit faite

sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.

Pardonne-nous nos offenses, 

comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.

Et ne nous laisse pas entrer en tentation,

mais délivre-nous du Mal. Amen

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22 septembre 2022 4 22 /09 /septembre /2022 14:34

Il y avait une fois un homme riche qui s’habillait des vêtements les plus fins et les plus coûteux et qui, chaque jour, vivait dans le luxe en faisant de bons repas. Devant la porte de sa maison était couché un pauvre homme, appelé Lazare. Son corps était couvert de plaies. Il aurait bien voulu se nourrir des morceaux qui tombaient de la table du riche. De plus, les chiens venaient lécher ses plaies. Le pauvre mourut et les anges le portèrent auprès d’Abraham. Le riche mourut aussi et on l’enterra. Il souffrait beaucoup dans le monde des morts ; il leva les yeux et vit de loin Abraham et Lazare à côté de lui. Alors il s’écria : « Père Abraham, ait pitié de moi ; envoie donc Lazare tremper le bout de son doigt dans de l’eau pour me rafraîchir la langue, car je souffre beaucoup dans ce feu ». Mais Abraham dit : « Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu beaucoup de biens pendant ta vie, tandis que Lazare a eu beaucoup de malheurs. Maintenant, il reçoit ici sa consolation, tandis que toi tu souffres. De plus, il y a un profond abîme entre vous et nous ; ainsi, ceux qui voudraient passer d’ici vers vous ne le peuvent pas et l’on ne peut pas non plus parvenir jusqu’à nous de là où tu es ». Le riche dit : « Je t’en prie, père, envoie donc Lazare dans la maison de mon père, où j’ai cinq frères. Qu’il aille les avertir, afin qu’ils ne viennent pas eux aussi dans ce lieu de souffrances. Abraham répondit : « Tes frères ont Moïse et les prophètes pour les avertir : qu’ils les écoutent ! Le riche dit : « Cela ne suffit pas, père Abraham. Mais si quelqu’un revient de chez les morts et va les trouver, alors ils changeront de comportement ». Mais Abraham lui dit : « S’ils ne veulent pas écouter Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader même si quelqu’un se relevait d’entre les morts ».

Luc 16, 19-31

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20 août 2022 6 20 /08 /août /2022 07:40

C’est l’été, le début des vacances. Imaginez que vous êtes sur la plage et que juste à côté de vous se trouve une personne qui s’expose au soleil tout habillée. Cela vous surprendrait sans doute. Car si nous n’avons pas de problèmes de santé, nous aimons sentir le soleil raviver notre corps blanchi par les longues journées d’hiver.

Ce qui est vrai pour notre corps est vrai pour notre âme. Nous devons retirer ce qui nous empêche de sentir le soleil de Dieu réchauffer notre vie spirituelle.

À l’occasion de ces vacances, je vous invite, dans un premier point, à méditer la parabole du soleil qui nous vient des Pères de l’Église. Puis, dans un second point, je vous invite à identifier, à partir de cet évangile, deux types de vêtements que nous devrons enlever pour mieux suivre le Christ.

Commençons par la parabole du soleil. Elle est à ma connaissance la meilleure image qui permet d’expliquer le mystère de la Trinité : Un seul Dieu en trois personnes. Le soleil, c’est le Père. Personne ne peut le voir, ni même l’imaginer, comme il est impossible pour l’homme de regarder en face le soleil. Le rayon de soleil, c’est le Fils. Nous pouvons voir facilement un rayon de soleil lorsqu’il traverse une pièce et que le ménage n’a pas été bien fait (sourire !). On voit la poussière qui danse dans le rayon de soleil. La poussière représente notre humanité : « Tu es poussière et tu retourneras à la poussière ». Jésus a pris notre humanité, il s’est donné à voir. Mais, comme le rayon disparaît de notre pièce au bout d’un moment, de même, Jésus est retourné vers le Père. Il reste le Saint-Esprit. C’est la lumière et la chaleur. Même au cœur de l’hiver le plus glacial, lorsque nous avons l’impression que le soleil a disparu depuis des mois, il continue, en fait, d’agir au-delà des nuages par sa lumière et sa chaleur sinon, nous deviendrions un immense champ de glace polaire ! Ainsi, même lorsque nous avons l’impression que Dieu est bien loin au-delà des nuages, l’Esprit Saint ne cesse, en réalité, de nous réchauffer et de nous éclairer par sa discrète présence.

Nous pouvons donc distinguer le soleil, le rayon, la lumière et la chaleur, tout en sachant qu’ils sont en fait une seule réalité. Ainsi, nous pouvons distinguer les trois personnes de la Trinité, tout en sachant qu’elles ne sont qu’un seul Dieu. Pendant vos heures de bronzage, vous pourrez continuer à méditer sur cette belle parabole du soleil.

Venons-en maintenant à ces habits que nous pouvons retirer pour profiter pleinement du soleil de Dieu.

Beaucoup d’obstacles nous empêchent d’être en pleine communion avec Dieu. À partir de l’Évangile de ce jour, je voudrais en relever au moins deux : Jésus nous invite tout d’abord à renoncer au vêtement de ce que nous pourrions appeler : « le zèle démesuré ! » Il interpelle vivement ses apôtres qui veulent faire descendre le feu du ciel sur les samaritains. Ils étaient pourtant animés d’un zèle admirable pour leur Seigneur : ils ne supportaient pas que certain refuse de recevoir celui qu’ils aiment plus que tout. Alors, ils pensent que leur attachement inconditionnel au Christ justifie une certaine violence à l’égard de ceux qui le rejettent. Parmi eux se trouve l’apôtre Pierre. Visiblement, il n’a pas compris la leçon, puisque, quelques mois plus tard, au moment de l’arrestation du Jésus, il sortira l’épée de son fourreau et tranchera l’oreille d’un soldat. Jésus le reprendra vivement en lui disant : « Remets ton épée à sa place, car ceux qui prennent le glaive périssent par le glaive ». La violence, quelle qu’elle soit, et même pour une bonne cause, est un vêtement qui nous empêchera toujours de percevoir l’amour de Dieu.

Jésus nous invite aussi à renoncer au vêtement de « l’installation ». Lorsque cet homme lui manifeste son désir de le suivre partout où il ira, Jésus lui fait remarquer qu’il n’a même pas « un endroit pour reposer sa tête ». Dans cette période de vacances, certains se contenteront du strict nécessaire pour goûter une certaine liberté par rapport à nos besoins matériels habituels. D’autres, au contraire, ne pourront s’empêcher d’emporter avec eux tout ce qu’il faut pour ne manquer de rien. Cela me fait penser à un dessin humoristique qui montre un couple en maillot de bain au bord de l’eau. Le mari tient un téléphone portable dégoulinant dans sa main et dit à sa femme : « Mon smartphone est tombé à l’eau, nos vacances sont fichues ! »

Au moment de conclure, je vous propose deux petits devoirs de vacances : prendre un peu de temps pour faire le point sur votre zèle, est-il bien dans la juste mesure ? Et profiter de vos vacances pour vous désinstaller un peu, en laissant à la maison ce qui vous paraît indispensable et dont vous pourriez vous passer : votre télé ? Votre tablette numérique ?

Enfin, je pense à ceux qui, parmi vous, chers téléspectateurs, ne pourront pas ni partir en vacances, ni même sortir prendre un simple bain de soleil à cause de la maladie ou de votre âge avancé : n’oubliez pas la parabole du soleil : l’Amour de Dieu brille en permanence à vos côtés ! Amen !

Source : Père René-Luc https://www.lejourduseigneur.com

 

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20 août 2022 6 20 /08 /août /2022 07:33

Samedi 1er février 2020, par Mgr David Macaire

Un homme se vit, un jour, prescrire des lunettes par son médecin. Si les corrections et les détails techniques incombaient aux spécialistes, la dimension esthétique du nouvel outil était de son ressort. Cet homme était un religieux. Il opta pour une paire de lunettes rondes… Rondes comme celles du pape Pie XII, rondes comme celles du père Lagrange, de saint Maximilien Kolbe, ou, certainement, de saint Thomas d’Aquin, bref rondes…

L’affaire ne fut pas aisée ! Les lunettes rondes n’étaient plus (mais alors plus du tout !) à la mode ! Les opticiens, d’abord incrédules puis abasourdis, tentaient, à chaque nouvelle paire, de le convaincre de changer, de prendre des lunettes carrées… On pouvait peut-être lui arrondir les angles !? Les esthètes et autres modistes qu’il rencontrait évaluaient la forme de son visage, la tendance ou la mode et tentaient de lui faire faire un autre choix. Mais lui refusa tout compromis ! De guerre lasse, les vendeurs finissaient, après avoir feuilleté en vain mille et-un catalogues, par dénicher, dans le fond d’un tiroir d’une arrière-boutique, une monture, certes "mathusalémienne", mais… ronde ! Ronde, comme celle de Pie XII ou du P. Lagrange… !

Démodé pendant quelques années, quelle ne fut pas la surprise du bon frère de voir apparaître, sur le nez des personnes les plus élégantes du moment, des lunettes qui n’étaient plus tout à fait carrées. Puis, le temps arrangeant les choses, tout le monde se mit à « s’arrondir »… je parle bien sûr des porteurs de lunettes… ou, plutôt, des lunettes elles-mêmes ! Si bien qu’au bout du compte notre religieux à lunettes se trouva… à la mode. Oui, à la mode ! avec ses lunettes qu’il avait conservées quand tous les autres les rejetaient, ses lunettes rondes comme celles de saint Maximilien ou de saint Thomas…

Cette parabole des lunettes rondes est celle de notre foi en ce début de XXIe siècle si peu catholique. L’Église est comme ces lunettes rondes : elle n’est pas (mais alors pas du tout !) à la mode. Nos principes et nos convictions ne correspondent pas à la façon de penser en vogue. Nos pratiques et nos dogmes paraissent vieillots, désuets, out-of-date, définitivement rangés au placard des arrière-boutiques des doctrines les plus piteuses et moyenâgeuses. Notre discours moral, sans compromis, notamment sur la sexualité ou la conjugalité, la liturgie de nos assemblées ou la structure masculine de notre clergé sont loin des religions à la mode. Les gens n’entendent pas la liberté quand nous invoquons la fidélité absolue ; ils ne voient ni joie, ni consolation dans les célébrations rituelles des sacrements qui procurent pourtant le salut de Dieu ; les foules ne ressentent pas la fraternité dans le rapport paternel aux pasteurs ; notre engagement dans la société semble manquer de radicalité, de violence, de virilité pour défendre une certaine idée de Dieu ou du monde. Pour les personnes fragilisées, nous sommes peu crédibles. En nous revendiquant non-violents, nous paraissons aussi niais qu’incapables de changer le monde.

Cependant, comme pour les lunettes, le temps arrangera les choses : ce monde qui expérimente les pratiques libertaires connaîtra bientôt la frustration, s’ennuiera des célébrations religieuses sans présence réelle, sera las de se jeter au pied de gourous qui n’ont rien d’autre à donner qu’eux-mêmes ! La pauvreté naïve de l’Église révélera la vérité farouche de son message et manifestera sa mission antisystème et révolutionnaire ! Elle seule n’aura pas hurlé avec les loups ou, plutôt, bêlé avec les moutons ! Alors, on se mettra à arrondir les angles des opinions anticatholiques ; et nous, qui avons conservé la foi quand tous les autres la rejetaient, nous serons… à la mode. Oui, à la mode et catholiques comme Pie XII, comme le père Lagrange, saint Maximilien Kolbe et saint Thomas d’Aquin !

+ Fr David Macaire, Archevêque de Saint-Pierre et Fort-de-France ■

Source : https://martinique.catholique.fr/la-parabole-des-lunettes-rondes

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 21:09

Une perle du Québec que je vous invite à écouter et à méditer.

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 17:13

Un jour que Jésus enseignait, un docteur de la Loi se leva et lui posa une question sur les lois de Dieu pour l’embarrasser. Il voulait lui tendre un piège.

« Maître, dit-il à Jésus, que dois-je faire pour gagner la vie éternelle ? »

« Dans la Loi de Moïse, qu’y a-t-il écrit ? demanda Jésus. Tu es spécialiste, tu dois savoir ». L’homme répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit. Et aussi, ton prochain comme toi-même ». Tu as bien répondu, lui dit Jésus. Fais cela, et tu auras la vie éternelle ». Mais le chef religieux poursuivit : « Que signifie exactement aimer son prochain comme soi-même ? Qui est mon prochain ? »

Jésus lui raconta donc cette histoire.

« Un homme descendait un jour de Jérusalem à Jéricho, et il fut attaqué par des brigands qui le rouèrent de coups, lui prirent ses vêtements et le laissèrent à demi mort sur le bord de la route.

» Un peu plus tard, un prêtre vint à passer. Mais quand il vit l’homme blessé, étendu sur le sol, il se dit : "Cet homme a l’air mort, et en tant que prêtre il m’est interdit de toucher un cadavre. Je ferais mieux de m’éloigner". Il passa outre, et l’homme resta par terre, sans aide.

» Un peu plus tard, un Lévite, un homme religieux du Temple, descendit par le chemin. Il vit l’homme, prit peur, gagna l’autre côté de la route et poursuivit son voyage.

» C’est alors qu’un Samaritain passa sur le même chemin. Comme vous le savez, les Juifs et les Samaritains ont toujours été ennemis. Mais cet homme s’arrêta. Il se pencha sur le blessé et vit qu’il vivait encore. Le Samaritain nettoya et soulagea ses blessures avec du vin et de l’huile. Puis il déchira ses vêtements pour bander ses plaies et arrêter l’hémorragie.

» Puis le bon Samaritain chargea l’homme malade sur son âne, le transporta à l’auberge la plus proche et prit soin de lui toute la nuit.

» Comme il avait à faire le lendemain, le Samaritain donna à l’aubergiste quelques pièces d’argent pour qu’il puisse nourrir et soigner le malade.

» "Aie soin de lui jusqu’à mon retour", dit-il à l’aubergiste. Si tu dépenses plus pour lui, je te rembourserai plus tard ».

Se tournant vers le chef religieux qui lui avait posé la question, Jésus lui dit : « Ainsi lequel de ces trois voyageurs, à ton avis, s’est montré le prochain de l’homme blessé ? »

« Il me semble que c’est celui qui a été bon avec lui » répondit le chef religieux.

« Alors, dit Jésus. Va et fais de même ».

Luc 10, 25-37

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 17:11

 

En ce temps-là, Jésus déclara : « Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit.

Celui qui entre par la porte, c’est le pasteur, le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a poussé dehors toutes les siennes, il marche à leur tête, et les brebis le suivent, car elles connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un étranger, mais elles s’enfuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »

Jésus employa cette image pour s’adresser aux pharisiens, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait. C’est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »

Jean 10, 1-11

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 16:58

Le fils perdu

Les pharisiens n’étaient toujours pas convaincus par les histoires de Jésus. Ils se refusaient à croire que Dieu est prêt à accueillir les pécheurs qui regrettent leurs fautes. Alors, Jésus raconta une troisième histoire. « Il était une fois un riche fermier qui avait deux fils. L’aîné était un garçon sérieux et travailleur, qui aidait son père aux travaux des champs. Mais le plus jeune ne voulait pas rester à la maison. Il rêvait de parcourir le monde et de mener la grande vie. Apprenant qu’il hériterait un jour de la moitié du domaine, il ne voulut pas attendre plus longtemps. Il alla trouver son père et lui dit : « Père, donne-moi la part d’héritage qui me revient ». Son père accepta et lui donna généreusement une grosse somme d’argent. Peu de temps après, le fils quitta la maison et partit vers un pays lointain où il dépensa sans compter son argent pour les femmes, le jeu et la boisson ». Bientôt, il ne lui resta plus un sou. C’est alors que la famine s’abattit sur le pays. Le jeune homme désirait s’établir quelque part, et il se mit à chercher du travail. Finalement, il en trouva un comme gardien de cochons dans une petite ferme.

 Mais il était tellement affamé que lui qui jadis avait pris de somptueux repas maigrissait et faiblissait de jour en jour. Il était tellement affamé qu’il aurait été heureux de manger les caroubes qu’il était censé donner aux cochons ! Il se dit alors : « Pendant que les ouvriers de mon père ont à manger en abondance, moi je suis ici à mourir de faim ! Je vais rentrer chez moi, aller vers mon père et lui dire combien je regrette. Il ne m’accueillera sans doute pas comme son fils, mais il me trouvera du travail dans sa ferme ». Le lendemain, il prit donc le chemin du retour. Tandis qu’il était encore loin, son père, qui gardait les troupeaux, l’aperçut. « Ce jeune garçon si maigre et en haillons marche comme mon fils ! » se dit-il. Quand l’homme fut plus près, il reconnut son fils.

Il était fou de joie de le revoir, et ému par son état misérable. Il courut à sa rencontre, le prit dans ses bras et l’embrassa ». Jésus poursuivit : le jeune homme lui dit alors : « Père, pardonne-moi. J’ai péché contre Dieu et contre toi. Je ne mérite plus d’être appelé ton fils ». Mais le père ordonna à ses serviteurs : « Vite, apportez la plus belle robe. Mettez-lui des chaussures aux pieds et mon anneau au doigt. Tuez le veau que nous avons engraissé pour une grande occasion. Préparons un grand festin et faisons la fête ! Cette nuit-là, il y eut une grande fête, avec des danses et de la musique, et le vin coula à flots ».

Le retour du fils perdu

Jésus poursuivit l'histoire : « Pendant ce temps, le fils aîné était aux champs, en train de travailler dur. Il entendit la musique et les rires. Que se passe-t-il ? demanda-t-il à l’un des serviteurs. Ton père donne une fête en l’honneur de ton frère, répondit le serviteur. Il est revenu sain et sauf ». Le frère aîné se mit en colère et refusa de participer à la fête. « J'ai travaillé pour toi comme un esclave pendant toutes ces années, dit-il à son père. Je n’ai jamais désobéi à un seul de tes ordres ni rien fait de mal. Tu ne m’as jamais rien donné pour faire la fête. Et maintenant, ton autre fils, qui a gaspillé tout ton argent à mener la belle vie, revient sans un sou et en haillons, et tu fais tuer pour lui le veau gras ! » "Mon fils, répondit le père, tu es toujours avec moi et tout ce qui est à moi est à toi. Soyons donc joyeux, faisons la fête ! Ton frère qui était mort est revenu à la vie ! Il était perdu, il est retrouvé ! » » Après cette parabole, Jésus espérait que les pharisiens accepteraient et comprendraient ce qu’il leur enseignait. Comme le généreux père de la parabole qui pardonne à son fils, Dieu le Père pardonne à ses enfants qui se repentent de leurs fautes et reviennent à lui.

Luc 15, 11-32

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Prisonnier_des_Indiens.pdf

Source : http://www.biblenfant.org

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 16:54

Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux.

Ne portez de jugement contre personne et Dieu ne vous jugera pas non plus ; ne condamnez pas les autres et Dieu et vous condamnera pas ; pardonnez aux autres et Dieu vous pardonnera.

Donnez et vous recevrez : une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans votre tablier ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres, servira aussi pour vous ».

Jésus s’adressait à ses disciples en paraboles :

« Un aveugle ne peut pas conduire un autre aveugle, n’est-ce pas ? Sinon ils tomberont tous les deux dans un trou. Aucun élève n’est supérieur à son maître ; mais tout élève complètement instruit sera comme son maître.

Pourquoi regardes-tu le brin de paille qui est dans l’œil de ton frère, alors que tu ne remarques pas la poutre qui est dans ton œil ?

Comment peux-tu dire à ton frère : “Mon frère, laisse-moi enlever cette paille qui est dans ton œil”, toi qui ne vois même pas la poutre qui est dans le tien ?

Hypocrite, enlève d’abord la poutre de ton œil et alors tu verras assez clair pour enlever la paille de l’œil de ton frère ».

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 16:43

Un chef lui demanda : « Bon maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? » Jésus lui dit : « Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, sinon Dieu seul. Tu connais les commandements : ne commets pas d’adultère, ne commets pas de meurtre, ne commets pas de vol, ne porte pas de faux témoignage, honore ton père et ta mère ». L’homme répondit : « Tout cela, je l’ai observé depuis ma jeunesse ». À ces mots, Jésus lui dit : « Une seule chose te fait encore défaut : vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres et tu auras un trésor dans les cieux. Puis viens, suis-moi ». Mais en entendant ces paroles, l’homme devint profondément triste, car il était très riche.

En le voyant, Jésus dit : « Comme il sera difficile à ceux qui possèdent des richesses de pénétrer dans le royaume de Dieu ! Car il est plus facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu ». Ceux qui l’entendaient lui demandèrent : « Mais alors, qui peut être sauvé ? » Jésus répondit : « Ce qui est impossible pour les hommes est possible pour Dieu ». Pierre lui dit : « Nous, nous avons tout quitté pour te suivre ». Jésus répondit : « En vérité, je vous le dis, personne ne laissera maison, femme, frères, parents ou enfants à cause du royaume de Dieu, sans recevoir beaucoup plus dès à présent et, dans le monde à venir, la vie éternelle ».

Matthieu 19, 16-29

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 16:15

Jésus avertit ses disciples qu’il ne serait pas toujours avec eux sur terre. Il leur dit qu’après leur mort, ceux qui croyaient en lui entreraient dans le royaume de Dieu et vivraient avec lui pour l’éternité. Jésus voulait que les chrétiens sachent qu’ils doivent mettre à profit le temps qu’ils passent sur cette terre pour faire le meilleur usage des capacités qu’ils ont reçues de Dieu, afin de le servir le mieux possible. Et que, quand ils seraient face à lui ils recevraient une récompense à la mesure du travail accompli pour sa plus grande gloire.

Alors Jésus leur en donna l’explication par cette parabole : « Il était une fois un homme qui dut partir pour un long voyage. Il appela ses serviteurs et leur confia tous ses biens. Puis il partagea entre eux sa fortune, chacun selon ses capacités.

» Il donna cinq talents au premier serviteur, deux au second et un au troisième. Puis il partit en voyage, leur confiant tous ses biens.

» Le premier serviteur investit sagement ces cinq talents dans des commerces, et il en gagna cinq autres. De même, le second multiplia par deux la somme qu’il avait reçue. Mais le troisième ne fit rien avec son argent. Au lieu de cela, il enfouit son talent dans la terre ! »

Jésus fit une pause et continua : « Longtemps après, le maître revint chez lui. Il fit venir ses serviteurs et leur demanda des comptes sur l’argent qu’il leur avait confié.

» Le premier serviteur expliqua comment il avait réussi à multiplier par deux la somme qui lui avait été confiée. "C’est bien ! s’exclama le maître. Tu as été un bon et fidèle serviteur, et tu as fait un bon usage de ce que je t’ai donné. Maintenant que tu en es capable, je vais te donner plus de responsabilités. Prends part à ma joie".

» Vint ensuite le second serviteur, qui raconta aussi comment il avait habilement utilisé ses deux talents. "C’est bien ! le félicita le maître. Toi aussi, tu as été fidèle et laborieux. Viens et prends part à ma fête ! "

» Se présenta enfin le troisième serviteur, qui n’avait rien fait du tout avec l’argent qu’il avait reçu. "Maître, lui dit-il, je sais que tu es un homme dur et avare, j’ai eu peur de perdre ton argent, j’ai préféré l’enfouir dans la terre. Le voici intact".

» Le maître, en colère, s’écria :

» "Tu n’es qu’un serviteur mauvais et paresseux ! Puisque tu es si craintif, tu aurais pu au moins déposer mon argent à la banque pour en retirer un intérêt !"

» Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix. Car celui qui a recevra encore, et il sera dans l'abondance. Mais celui qui n'a rien se fera enlever même ce qu'il a. Quant à ce serviteur bon à rien, "jetez-le dehors ! ". Il a laissé passer l’occasion de faire quelque chose de bien et il n’aura pas sa part des réjouissances.

» Ceux qui feront bon usage de ce qu’ils ont reçu, ajouta Jésus, recevront plus encore ».

Matthieu 25, 14-30

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Explication de la parabole des talents

Le maître, c’est Dieu. Les talents, ce sont les dons que Dieu donne à chacun : leurs qualités, leurs parents, leur pays… Autant de personnes, autant de différences : il y a une grande diversité de talents.

Mais, pour tous, la volonté de Dieu est que nous fassions fructifier les talents reçus, c’est-à-dire porter du fruit. Par exemple : bien faire son travail à l’école pour développer notre intelligence ; l’aide à la maison et la gentillesse, pour développer notre cœur ; la prière, pour grandir dans l’amour de Dieu.

Ainsi, les deux premiers serviteurs, après le départ de leur maître, se sont mis au travail pour faire valoir la somme reçue : ils en ont gagné cinq ou deux de plus. Ils ont fait fructifier leurs talents. Le maître est content d’eux et les félicite. Mieux, il leur promet une belle récompense : "Entre dans la joie de ton Maître."

Mais le 3ème serviteur ? Il n’a pas fait valoir le talent reçu de son maître, il n’a pas travaillé : il a été paresseux. En plus, il essaie de se justifier en accusant le maître d’être dur et sévère. (Quand on agit bien, on n’a pas besoin de s’expliquer : on montre simplement le résultat de son travail). Bien sûr, le maître n’est pas content de lui. Il sera puni parce qu’il n’a pas développé son talent. La punition sera lourde : "jetez-le dans ténèbres du dehors, là seront des pleurs et les grincements de dents."

Cette parabole est l’annonce du jugement qui nous attend tous à la fin de notre vie, ce qui est résumé : le Maître, est en position de juge. Tous les hommes sans exception, à leur mort, paraîtront devant Lui et auront à Lui rendre compte de toute leur vie.

Source : http://www.prierenfamille.com

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 14:54

 

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole :

« Le royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à la rencontre de l’époux. Cinq d’entre elles étaient insouciantes, et cinq étaient prévoyantes : les insouciantes avaient pris leur lampe sans emporter d’huile, tandis que les prévoyantes avaient pris, avec leurs lampes, des flacons d’huile.

Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent. Au milieu de la nuit, il y eut un cri : “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.” Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe.

Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes :

“Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.”

Les prévoyantes leur répondirent : “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.”

Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva.

Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée.

Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !”

Il leur répondit : “Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas.” Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure »

Mt 25, 1-13

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 14:50

Il leur proposa une autre parabole : « Le royaume des cieux est comparable à une graine de moutarde qu’un homme a semée dans son champ. C’est la plus petite de toutes les semences, mais, quand elle a poussé, elle dépasse les autres plantes potagères et devient un arbre, si bien que les oiseaux du ciel font leurs nids dans ses branches ».

Il leur dit une autre parabole : « Le royaume des cieux est comparable à du levain qu’une femme enfouit dans trois grandes mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé ».

Tout cela, Jésus le dit à la foule en paraboles, et il ne leur disait rien sans employer de paraboles, accomplissant ainsi la parole du prophète : c’est en paraboles que je parlerai, je proclamerai des choses cachées depuis les origines.

Alors, laissant la foule, il vient à la maison. Ses disciples s’approchèrent et lui dirent : « Explique-nous clairement la parabole de l’ivraie dans le champ ». Il leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c’est le Fils de l’homme ; le champ, c’est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais. L’ennemi qui l’a semée, c’est le démon ; la moisson, c’est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges. De même que l’on enlève l’ivraie pour la jeter au feu, ainsi en sera-t-il à la fin du monde. Le Fils de l’homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume tous ceux qui font tomber les autres et ceux qui commettent le mal, et ils les jetteront dans la fournaise : là il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles qu’il entende ! »

Matthieu 13, 31-43

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 08:00

« Le Royaume des cieux est comme un roi qui fait un grand repas pour le mariage de son fils. Il envoie des serviteurs appeler les invités au repas, mais personne ne veut venir. Il envoie encore d'autres serviteurs pour de dire aux invités : la cuisine est faite, tout est prêt pour le repas, on n'attend plus que vous, venez à mon repas. Mais ils s'en fichent, ils s'en vont, l'un à son champ, l'autre dans un magasin ; certains frappent même les serviteurs et les tuent.

Alors le roi se met en colère ; il envoie ses soldats tuer ces assassins et incendier leur ville. Puis il dit à ses serviteurs : Le mariage est prêt, mais les invités ne le méritaient pas. Allez donc sur places et sur les chemins et faites venir au repas tous les gens que vous trouverez. Les serviteurs s'en vont un peu partout et rassemblent tous ceux qu'ils trouvent, des mauvais et des bons. Et la salle du repas se remplit de monde. Le roi arrive pour saluer les invités, et il voit un homme qui n'avait pas mis le vêtement de fête qu'on venait de lui donner. Mon ami, lui demande-t-il, comment es-tu entré ici sans avoir mis le vêtement de fête ? L'homme ne répondit rien. Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-lui les pieds et les mains et jetez-le dehors, dans le noir : là, il pourra pleurer en grinçant des dents. En effet, ajouta Jésus, beaucoup sont invités, mais peu sont admis ».

Matthieu 22, 1-14

 

 

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Explication de la parabole du repas de noce

Le Roi, c’est Dieu qui aime tous les hommes et les invite tous chez lui.

Le festin de noces représente la vie du Ciel à laquelle Dieu nous invite tous : une vie de bonheur éternel, une chose merveilleuse à désirer de tout son cœur ; il faut tout faire pour y arriver.

Tout le monde est invité, mais tout le monde n’accepte pas…

"Beaucoup sont appelés, mais peu sont élus…"

Certains se sont excusés de ne pas venir : ils préféraient leurs affaires, qu’ils trouvaient plus importantes que l’invitation du Roi (l’homme qui laboure son champ).

Mais d’autres, qui n’aimaient pas le Roi, ont même tué ses serviteurs. Alors le Roi s’est mis en colère et a envoyé son armée contre eux pour détruire leur ville.

Un autre est venu, mais sans revêtir "l’habit de noces" demandé pour se présenter devant le Roi : c’est vraiment un grand manque de respect et un affront que le Roi ne peut accepter. Il est rejeté au dehors, "dans les ténèbres extérieures, là seront les pleurs et les grincements de dents." La punition est sévère : c’est la peine de l’enfer, la séparation définitive d’avec Dieu.

L’habit de noces est l’image de la grâce divine, l’état d’amitié avec Dieu : c’est un don que nous recevons à notre baptême, sans aucun mérite de notre part, le plus beau cadeau que nous puissions recevoir. Mais si nous le méprisons, comme l’homme en haillons, sans en tenir compte dans notre vie (en vivant comme des enfants de Dieu), si nous ne reconnaissons pas sa valeur, n’est-ce pas offenser gravement Dieu ?

Source : http://www.prierenfamille.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source : http://www.religiocando.it

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:58

Jésus disait aux chefs des prêtres et aux pharisiens : « Écoutez cette parabole : un homme était propriétaire d’un domaine ; il planta une vigne, l’entoura d’une clôture, y creusa un pressoir et y bâtit une tour de garde. Ensuite, il loua la vigne à des ouvriers vignerons et partit en voyage.

Quand arriva le moment de la vendange, il envoya ses serviteurs auprès des vignerons pour recevoir la récolte. Mais les vignerons se saisirent des serviteurs, frappèrent l’un, tuèrent l’autre, lapidèrent le troisième. De nouveau, le propriétaire envoya d’autres serviteurs plus nombreux que les premiers ; mais ils furent traités de la même façon. Finalement, il leur envoya son fils, en se disant : ’Ils respecteront mon fils.’ Mais, voyant le fils, les vignerons se dirent entre eux : ’Voici l’héritier : allons-y ! tuons-le, nous aurons l’héritage !’ Ils se saisirent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.

Eh bien, quand le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ? » demanda Jésus. On lui répond : « Ces misérables, il les fera périr misérablement et il louera la vigne à d’autres vignerons, qui lui remettront la récolte au moment voulu. »

Jésus leur dit : « N’avez-vous jamais lu dans les Écritures : La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre angulaire. C’est là l’œuvre du Seigneur, une merveille sous nos yeux ! Aussi, je vous le dis : Le royaume de Dieu vous sera enlevé pour être donné à un peuple qui lui fera produire son fruit.

Matthieu 21, 33-43

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:55

Que pensez-vous de ceci ? ajouta Jésus. Un homme avait deux fils. Il s’adressa au premier et lui dit : “Mon enfant, va travailler aujourd’hui à la vigne”. “Je ne veux pas,” répondit-il ; mais, plus tard, il changea d’idée et se rendit à la vigne.

Puis le père adressa la même demande à l’autre fils. Celui-ci répondit : “Oui, père, j’y vais, mais il n’y alla pas.

Lequel des deux a fait la volonté du père ? ”- « Le premier », répondirent-ils. Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare, c’est la vérité, les collecteurs d’impôts et les prostituées arriveront avant vous dans le Royaume de Dieu. Car Jean-Baptiste est venu à vous sur le chemin de la justice, et vous ne l’avez pas cru ; mais les collecteurs d’impôts et les prostituées l’ont cru. Et même après avoir vu cela, vous n’avez pas changé intérieurement pour croire en lui.

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:54

Voici ce que Jésus nous dit pour nous apprendre à pardonner.

Un roi a décidé de demander des comptes à ses serviteurs, et pour commencer on lui en présente un qui doit 10 000 pièces d’or. Comme il n’est pas en mesure de rembourser, son maître ordonne de le vendre comme esclave ainsi que sa femme, ses enfants et tout ce qu’il a, afin de rembourser sa dette.

Alors le serviteur se jette à ses pieds, face contre terre, et lui dit : "Sois patient avec moi et je te rembourserai tout". Le roi a une telle compassion de lui qu’il le remet en liberté, et même efface sa dette.

Mais aussitôt sorti, ce serviteur rencontre un compagnon de travail qui lui doit 100 pièces. Il le prend à la gorge en lui disant : "Rends-moi ce que tu me dois".  Son compagnon se jette à ses pieds et le supplie : "Sois patient avec moi et je te rembourserai". Mais l’autre refuse et s’en va le faire mettre en prison jusqu’à ce qu’il ait remboursé sa dette.

En voyant cela, les autres compagnons sont profondément peinés et ils vont raconter à leur roi ce qui vient de se passer.

Le roi fait alors appeler l’autre et lui dit : "Méchant serviteur, quand tu m’as supplié, je t’ai libéré de toute cette dette ; ne devais-tu pas toi aussi avoir pitié de ton compagnon comme j’ai eu pitié de toi ? Le roi était fort en colère et il le remit aux mains des bourreaux jusqu’à ce qu’il ait payé tout ce qu’il devait".

"Oui, mon Père des cieux vous traitera de la même façon si chacun de vous ne pardonne pas à son frère du fond de son cœur".

Matthieu 18, 23-35

 

Explication de la parabole du serviteur impitoyable

Le roi, c’est Dieu. Il veut, dit l’Évangile, "régler ses comptes avec ses serviteurs". La somme due par le premier serviteur envers le roi est considérable : c’est la dette accumulée par tous nos péchés. Mais Dieu est toujours prêt à pardonner si on revient vers Lui pour demander pardon.

En comparaison, la dette des autres envers nous est bien peu de chose mais, aveuglés sur nous-mêmes, nous nous donnons beaucoup d’importance (orgueil !) et nous refusons souvent de pardonner !

À la fin de notre vie, chacun de nous devra en effet rendre compte à Dieu de tout ce qu’il a fait. Bien conscients que tout dans notre vie n’a pas toujours été parfait, nous devrons alors implorer l’indulgence de Dieu et son pardon : sa miséricorde.

Mais pour obtenir cette miséricorde, encore faut-il avoir nous-mêmes pratiqué l’indulgence et le pardon avec tous ceux que nous avons rencontrés.

"Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés…" Ce n’est pas facile de pardonner, nous avons toujours beaucoup de mal. Cela vient de notre nature humaine blessée par le péché, et de notre orgueil.

Pourtant, le pardon est une exigence absolue de notre foi chrétienne, une condition indispensable pour entrer dans le royaume de Dieu. C’est le sens de la réponse de Jésus à la question de saint Pierre : "Combien de fois dois-je pardonner à mon frère ?..."

Source : http://www.prierenfamille.com

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:47

Jésus leur raconta une autre parabole pour leur parler du Royaume de Dieu.

« Un homme avait semé du bon grain dans son champ, dit Jésus. Mais il avait un ennemi et, une nuit, tandis que tout le monde dormait, son ennemi vient semer de la mauvaise herbe – de l’ivraie – parmi le bon grain ». Quand les plantes se mirent à pousser, les ouvriers agricoles remarquèrent l’ivraie et demandèrent au fermier : « D’où viennent ces mauvaises herbes ? Tu as semé du bon grain. Devons-nous les arracher ? »

Le fermier répondit : « Non, laissez-les, vous pourriez arracher le blé en même temps. Au moment de la moisson, nous dirons aux moissonneurs de récolter d’abord l’ivraie et de la brûler. Alors il sera facile de ramasser le blé pour l’entreposer dans ma grange ».

Un peu plus tard, quand la foule fut repartie et que les amis de Jésus se retrouvèrent seuls avec lui, ils lui demandèrent ce que signifiait l’histoire de la mauvaise herbe.

« Je suis le semeur qui sème le bon grain, qui répand la Parole de Dieu, dit Jésus. Le champ, c’est le monde. La bonne semence, ce sont ceux qui croient en la Parole de Dieu. Les mauvaises herbes, ce sont ceux qui appartiennent à l’ennemi de Dieu, au Malin. La moisson sera faite à la fin du monde. Les moissonneurs sont les anges de Dieu qui sépareront le peuple de Dieu de ceux qui se sont détournés de Lui ou qui ont fait le mal ».

Matthieu 13, 24-30

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:45

Jésus dit une parabole pour certains hommes qui étaient convaincus d’être juste et qui méprisaient tous les autres : « Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain.

Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : « Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes : voleurs, injustes, adultères, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne ».

Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : « Mon Dieu, prends pitié du pécheur que je suis ! » Quand ce dernier rentra chez lui, c’est lui, je vous le déclare, qui était devenu juste, et non pas l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé ».

On présentait à Jésus même les nourrissons, afin qu’il les touche. En voyant cela, les disciples les écartaient vivement. Mais Jésus les appela en disant : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent. Amen, je vous le dis : celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas ».

Luc 18, 9-17

Explication de la parabole du Pharisien et du Publicain

Le pharisien est un orgueilleux : il est tellement content de lui que, lorsqu'il s'adresse à Dieu dans la prière, au lieu de commencer par L'adorer et Le remercier de tout ce que Dieu lui a donné (ce qu'il faut toujours faire), il ne parle que de lui, sans penser que c'est Dieu qui lui a tout donné et qu'il Lui doit tout.

Il s'admire tellement qu'il ne voit pas ses péchés et il ne peut pas les voir ; dans sa prière, il ne demande pas pardon : c'est pourquoi il ne reçoit de Dieu ni son pardon, ni sa grâce. Pourtant… il en aurait bien besoin : le péché d'orgueil est le plus grave de tous.

Au contraire, le publicain reconnaît son péché devant Dieu : "Seigneur, aies pitié du pécheur que je suis". En s'humiliant devant Lui, il obtient de Dieu le pardon et retrouve l'état de grâce, l'amitié divine. "Celui qui s'abaisse sera élevé".

L'humilité est le fondement de la prière.

Source : http://www.prierenfamille.com

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Source des images : http://caroldurand.blogspot.fr/

 

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:38

La brebis perdue

 

Les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette parabole : « Si l’un d’entre vous a 100 brebis, et en perd une, ne laisse-t-il pas les 99 autres dans le désert pour aller chercher celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la retrouve ? Quand il l’a retrouvée, tout joyeux, il la prend sur ses épaules et, de retour chez lui, il réunit ses amis et ses voisins ; il leur dit : « Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé ma brebis, celle qui était perdue ! Je vous le dis : C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de conversion.

Luc 15, 1-7

 

 

 

 

 

 

 

 

Source : http://dibujosparacatequesis.blogspot.com/ et mise en français par mes soins.

La drachme perdue

 

Si une femme a dix pièces d’argent, et qu’elle en perd une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ? Quand elle l’a retrouvée, elle réunit ses amies et ses voisines et leur dit : « Réjouissez-vous avec moi, car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue ! » De même, je vous le dis : il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit ».

Luc 15, 8-10

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:33

Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient.

Jésus leur répondit :

« Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. »

Jésus disait encore cette parabole :

« Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas.

Il dit alors à son vigneron :

“Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?”

Mais le vigneron lui répondit :

“Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier. Peut-être donnera-t‑il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas.” »

 

Luc 13, 1-9

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:30

Jésus continuait d’enseigner les foules sur l’attitude à avoir vis-à-vis de l’argent. Un jour qu’il avait prêché à l’entrée du Temple, il prenait un peu de repos assis en face des troncs du Trésor. De là, il voyait les gens y déposer leurs offrandes pour l’entretien du bâtiment.

Des riches passaient et jetaient dans les troncs plusieurs pièces d’or, qu’ils faisaient tinter haut et fort pour montrer qu’ils en donnaient beaucoup.

Survint une veuve très pauvre, qui glissa deux piécettes dans un des troncs. Alors Jésus appela à lui ses disciples. « Avez-vous vu cette femme qui a mis dans le tronc ses deux petites pièces ? leur dit-il. Je vous le dis, elle a plus donné au Trésor que tous ces riches ».

Les disciples restèrent perplexes. « Les riches n’ont donné qu’une petite partie de leur immense richesse, expliqua Jésus. Mais cette veuve, dans sa pauvreté, a donné tout son argent. Elle a mis tout ce qu’elle avait pour vivre, et Dieu le sait ».

Marc 12, 41-44

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:27

Jésus disait cette parabole : « Le Royaume des cieux est comparable au maître d'un domaine qui sortit au petit jour afin d'embaucher des ouvriers pour sa vigne. Il se mit d'accord avec eux sur le salaire d'une pièce d'argent pour la journée, et il les envoya à sa vigne. Il sortit de nouveau à neuf heures du matin et en vit d’autres qui se tenaient sur la place sans rien faire. Il leur dit : "Allez, vous aussi, travailler dans ma vigne et je vous donnerai un juste salaire". Et ils y allèrent. Le propriétaire sortit encore à midi, puis à trois heures de l’après-midi et fit de même. Enfin, vers cinq heures du soir, il sortit et trouva d’autres hommes qui se tenaient encore sur la place. Il leur demanda : "Pourquoi restez-vous ici, tout le jour sans rien faire ?" "Parce que personne ne nous a engagés" répondirent-ils. Il leur dit : "Allez, vous aussi, travailler dans ma vigne."

Quand vint le soir, le propriétaire de la vigne dit à son contremaître : "Appelle les ouvriers et paie à chacun son salaire. Tu commenceras par les derniers engagés et tu termineras par les premiers engagés.

Ceux qui s’étaient mis au travail à cinq heures du soir vinrent et reçurent une pièce d'argent. Quand ce fut le tour des premiers engagés, ils pensèrent qu’ils recevraient plus ; mais on leur remit aussi à chacun une pièce d’argent. En la recevant, ils critiquaient le propriétaire et disaient : "Ces ouvriers engagés en dernier n'ont travaillé qu'une heure et tu les as payés comme nous qui avons supporté la fatigue d’une journée entière de travail sous un soleil brûlant !" Mais le propriétaire répondit à l'un d'eux : "Mon ami, je ne te fais aucun tort. Tu as convenu avec moi de travailler pour une pièce d’argent par jour, n’est-ce pas ? Prends donc ton salaire et va-t’en. Je veux donner à ce dernier engagé autant qu’à toi. N’ai-je pas le droit de faire ce que je veux de mon argent ? Ou bien es-tu jaloux parce que je suis bon ?" Ainsi, ajouta Jésus, ceux qui sont les derniers seront les premiers et ceux qui sont les premiers seront les derniers ».

Matthieu 20, 1-16

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:25

Jésus traversait villes et villages et enseignait en faisant route vers Jérusalem. Quelqu’un lui demanda : « Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui seront sauvés ? » Jésus répondit : « Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite, car, je vous l’affirme, beaucoup essayeront d’entrer et ne le pourront pas.

Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte à clé, vous vous trouverez dehors, vous vous mettrez à frapper à la porte et à dire : “Maître, ouvre-nous”, il vous répondra : “Je ne sais pas d’où vous êtes.” Alors vous allez lui dire : “Nous avons mangé et bu avec toi, tu as enseigné dans les rues de notre ville.” Il vous dira de nouveau : “Je ne sais pas d’où vous êtes. Écartez-vous de moi, vous tous qui commettez le mal.” C’est là que vous pleurerez et grincerez des dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob et tous les prophètes dans le Royaume de Dieu, et que vous serez jetés dehors ! Des hommes viendront de l’est et de l’ouest, du nord et du sud et prendront place à table dans le Royaume de Dieu. Et alors, certains de ceux qui sont maintenant les derniers seront les premiers et d’autres qui sont maintenant les premiers seront les derniers.

Luc 13, 22-30

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19 août 2022 5 19 /08 /août /2022 07:18

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire. Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs : il placera les brebis à sa droite, et les boucs à gauche.

 

Alors le Roi dira à ceux qui seront à sa droite :

“Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.

Car j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi ! 

Alors les justes lui répondront : “Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu… ? tu avais donc faim, et nous t’avons nourri ? tu avais soif, et nous t’avons donné à boire ? tu étais un étranger, et nous t’avons accueilli ? tu étais nu, et nous t’avons habillé ? tu étais malade ou en prison… Quand sommes-nous venus jusqu’à toi ?”

Et le Roi leur répondra :

“Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”

Alors il dira à ceux qui seront à sa gauche :

“Allez-vous-en loin de moi, vous les maudits, dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges. Car j’avais faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’avais soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ; j’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas habillé ; j’étais malade et en prison, et  vous ne m’avez pas visité.”

Alors ils répondront, eux aussi :

“Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, avoir soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ?”

Il leur répondra : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.”

Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »

 

Mat 25, 31-46

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