Bonjour à tous. Je n'oublie pas les plus jeunes durant ce temps de Carême et je viens de concevoir un petit cahier de coloriage avec un passage d'évangile du Mercredi des Cendres au Dimanche de Pâques. J'espère qu'il vous plaira.
La fête du Christ Roi de l'Univers clôt le cycle de l’année liturgique le dimanche 21 novembre 2021. Toute l’année les chrétiens ont célébré les grands moments de la vie de Jésus. Lors du dernier dimanche de l’année, ils sont invités à se tourner vers le Christ roi de l’univers et juge de l’humanité. Voici un extrait de l'Evangile du jour :
Alors Pilate rentra dans le Prétoire ; il appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus lui demanda : « Dis-tu cela de toi-même, ou bien d’autres te l’ont dit à mon sujet ? » Pilate répondit : « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t’ont livré à moi : qu’as-tu donc fait ? » Jésus déclara : « Ma royauté n’est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n’est pas d’ici. » Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix ».
Le royaume du Christ est donc avant tout un royaume d’amour.
Découvrons ensembre la prière du Notre Père en différentes langues ainsi que notre belle prière à colorier ICI.
C’est le cœur de Jésus symbole de l’amour divin, centre où tout converge et qui embrasse tout. L’Eglise contemple le cœur du Sauveur de l’humanité et se laisse guider par lui jusqu’au plus profond du mystère de l’amour où se rencontrent l’homme et Dieu. La dévotion au Sacré Cœur nous invite à fixer notre attention sur ce cœur aimant, compatissant et miséricordieux qui révèle le cœur de Dieu. Il existe des liens intimes entre le Sacré-Cœur et l’Eucharistie.
La Fête-Dieu s'appelle aujourd'hui officiellement la fête du Corps et du Sang du Christ ou du Saint-Sacrement. Cette fête a lieu en principe le jeudi qui suit le dimanche de la Trinité. Dans les pays où ce jour n'est pas chômé (cas de la France), elle est célébrée le dimanche suivant.
Ce mot vient du chiffre 3. Il ne se trouve pas dans les textes bibliques. Il fait partie du langage de l’Eglise qui essaie de dire le mystère de Dieu. Jésus a mis en lumière ce qui était encore caché dans l’Ancien Testament : le Dieu unique de l’Alliance n’est pas un solitaire. Il est, en lui-même, dialogue d’amour. C’est pour cela que l’homme créé à son image est un couple, appelé à construire une unité indissoluble. Jésus révèle que Dieu est communion du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Dieu est amour. Ce Dieu trinitaire invite tous les hommes à participer à sa vie. Le Saint-Esprit leur donne un cœur de fils, semblable à celui de Jésus, pour qu’ils aiment le Père.
Les mois de mai et d'octobre sont dédiés à Marie. Découvrons ensemble un album à colorier de 26 pages, qui s'avère un merveilleux outil pour les parents, grands-parents et catéchètes qui veulent faire connaître et aimer la Vierge Marie à leurs jeunes ! Chaque page de ce cahier peut devenir une heureuse occasion pour un échange sur la Vierge Marie, Dieu et la prière, et tout ce qui compose la vie chrétienne.
Chaque illustration est accompagnée d'une courte explication dans des mots simples, à la portée des enfants.
On y retrouve :
Les grandes étapes de la vie de Marie
L'histoire de Fatima
Un bouquet spirituel à compléter et à offrir à Notre-Dame
Au nord de la Judée, dans une ville de la Galilée appelée Nazareth, vivait un homme du nom de Joseph, un descendant du grand roi David. Joseph était charpentier et travaillait durement pour gagner sa vie. Il était tout heureux, car il était fiancé à une belle et douce jeune fille qui s’appelait Marie. Un jour que Marie était tranquillement assise seule dans sa maison, une lumière éblouissante emplit la pièce et elle entendit une voix. Marie leva les yeux. Devant elle se tenait Gabriel, l’ange du Seigneur. « Sois sans crainte Marie, lui dit l’ange. Dieu est avec toi. Il m’a envoyé t’annoncer une bonne nouvelle. Voilà que tu vas avoir un fils, un enfant hors du commun. Tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera le roi promis par Dieu, celui que tous attendent. Et son règne n’aura pas de fin ». Marie cependant, demanda : « Comment pourrai-je avoir un enfant, ne suis pas encore mariée ? »
« Ton fils naîtra de la puissance de Dieu, répondit l’ange Gabriel. On l’appellera Fils de Dieu. Ta cousine Elisabeth attend un enfant, elle aussi. Or elle pensait qu’elle n’en aurait jamais. Car, vois-tu, rien n’est impossible à Dieu ». « Je ne comprends pas, répondit Marie. Mais je ferai ce que Dieu demande ».
Quand l’ange la quitta, Marie demeura un moment à méditer. Puis elle résolut de rendre une visite à sa cousine Elisabeth, qui était enceinte aussi. A la vue de Marie, Elisabeth fut transportée de joie. Elles tombèrent dans les bras l’un de l’autre et s’embrassèrent, très heureuses.
« Dieu fait des merveilles ! s’exclama Elisabeth. Heureuse sois-tu, Marie, toi qui vas être la mère de mon Seigneur ». Marie, toute à sa joie, resta trois mois chez Elisabeth, puis s’en retourna chez elle.
Mais, quand elle apprit à Joseph qu’elle était enceinte, il fut troublé et ne sut que penser. Il ne parvenait pas à croire à cette histoire que lui racontait Marie. Il semblait si étrange qu’un ange du Seigneur ait pu apparaître à Marie. Joseph prit la décision de ne plus se marier avec Marie, puisqu’elle attendait un enfant. Mais voici que, cette nuit-là, un ange du Seigneur lui apparut en songe : « Ne crains pas, dit-il, d’épouser Marie. Elle n’a rien fait de mal. Dieu l’a choisie pour être la mère de son Fils, le Seigneur promis. Tu l’appelleras Jésus, qui veut dire « Dieu sauve », car c’est lui qui sauvera le peuple de toutes ses fautes. Prends Marie pour femme, tu le dois, et aie soin de Jésus comme s’il s’agissait de ton propre fils ».Le lendemain, Joseph éprouva un grand soulagement. Il comprit que Marie lui avait dit la vérité. Joseph se rendit en hâte auprès d’elle. « Je te demande pardon de n’avoir pas cru en toi, Marie. Nous devons nous marier ».
40 jours après Noël, Joseph et Marie se sont agglutinés au cortège compact de ceux qui, patiemment, piétinent en attendant de franchir la porte monumentale du Temple. Cela donne au moins le temps de s’émerveiller. Songer que la surface du Temple couvre plus de 14 hectares. Songer que l’enceinte extérieure mesure au nord 320 mètres ; au sud, 280 ; à l’est, 485 ; à l’ouest, 515.
Joseph et Marie ont enfin franchi la porte monumentale. Ils se sont perdus dans le labyrinthe des parvis et des enceintes. Tout cela est colossal, écrasant, bouleversant.
Ils s’avancent, ces petites gens de Nazareth, humbles comme toujours, prêts à demander pardon à ceux qui les heurtent. La règle veut que l’on apporte aux prêtres un agneau que l’on sacrifiera. Si l’on est trop pauvre, deux tourterelles suffisent. Joseph les a achetées à l’entrée.
Dans les bras de Marie, le bébé dort. Mais pourquoi, parmi ces milliers de fidèles qui les entourent, un vieil homme, en les voyant, sursaute-t-il ? Pourquoi fait-il des pieds et des mains pour fendre la foule et s’approcher d’eux ?
Il s’appelle Siméon. Au Temple, on le connaît bien. Depuis des années, il vit dans la prière et les sacrifices. Il ressent si fortement la présence de Dieu qu’il est persuadé de voir, avant de mourir, le Messie. De toute son âme, il en espère la venue.
Le voici devant Marie. Il ne quitte plus des yeux l’enfant Jésus. Un bonheur sans limites illumine son visage. Sans que Marie songe à résister, il lui arrache le bébé, l’élève dans ses bras. Les paroles qu’il profère ressemblent à un chant. C’est à Dieu qu’il s’adresse :
- Maintenant, laisse ton serviteur s’en aller en paix !... Mes yeux ont vu la Lumière qui éclairera les nations et fera la gloire des enfants d’Israël !
Tout autour, les gens se sont arrêtés. Avec un étonnement que nous pouvons comprendre, ils entendent les étranges paroles de Siméon. Parmi eux, il y a une femme. Très vieille, elle aussi. Elle s’approche. Son nom est Anne, elle ne quitte jamais le Temple. Avec une voix dont la puissance surprend chez une femme aussi âgée, elle se met à louer Dieu. Elle s’écrie :
- Voici celui qui sauvera Israël !
Source : Alain Decaux raconte Jésus aux enfants
La fête de ce jour a un double objet, célébrer la Purification de Marie et la Présentation de Jésus au Temple selon la loi de Moïse. Cette loi fixait le temps où les mères devaient se présenter avec leurs nouveau-nés devant les autels, et elle exigeait une offrande pour le rachat des enfants mâles. Ni Marie, toute pure dans sa maternité, ni Jésus, Fils de Dieu, n’étaient obligés à cette cérémonie ; cependant par humilité, et pour donner aux hommes un éclatant exemple d’obéissance aux lois divines, Marie, accompagnée de Joseph et portant Jésus en Ses bras, se rendit au Temple de Jérusalem.
La fête chrétienne qui nous conserve le souvenir de cette cérémonie porte, dans le langage populaire, le nom de la Chandeleur, à cause de la procession qui se fait ce jour-là dans nos églises avec des cierges allumés.
Les cierges symbolisent Notre-Seigneur Jésus-Christ, Lumière du monde ; la procession représente le passage de la sainte Famille dans le Temple et la rencontre des deux vieillards Siméon et Anne. Saint Anselme, développant ce mystère, nous dit qu’il y a trois choses à considérer dans le cierge : la cire, la mèche et la flamme. La cire, ouvrage de l’abeille virginale, est la Chair du Christ ; la mèche, qui est intérieure, est Son Âme ; la flamme, qui brille en la partie supérieure est Sa Divinité.
La procession de la Chandeleur nous apparaît comme la marche du peuple chrétien à la lumière du Christ, figuré par les cierges que porte le clergé, la portion choisie de l’Église, comme Jésus même était porté entre les bras de Marie, entre ceux du saint vieillard Siméon et du pontife qui L’offrit au Seigneur.
Les cierges de la Chandeleur sont bénits avec une solennité toute particulière et avec l’emploi des prières les plus touchantes. Conservés dans la maison des chrétiens, ils sont un gage de la protection divine. Il est dans l’esprit de l’Église d’allumer les cierges de la Chandeleur pour repousser les esprits de ténèbres, dans les dangers corporels et spirituels, au lit des mourants, pour éloigner d’eux l’ennemi des hommes, qui fait alors son suprême effort afin d’arracher les âmes à Dieu. C’est bien alors surtout, en effet, que l’homme a besoin du recours du Rédempteur, vraie lumière des âmes, pour illuminer les derniers instants de sa vie.
Seht Euch mal das Bild genauer an. Was entdeckt ihr darauf? Ganz rechts steht ein älterer Herr in einem reich verzierten Gewand. Das ist ein Priester im jüdischen Tempel. Er hält das Jesuskind auf seinen Armen. Maria, die ihr links von ihm sehen könnt, hat ihm das Kind gegeben.
So ähnlich, wie es heute bei uns ist, dass die Kinder getauft werden, wurden sie damals in den Tempel gebracht und dort sozusagen Gott vorgestellt. Man brachte das Kind vor Gott, um seine Dankbarkeit Gott gegenüber zu zeigen. Dadurch kommt sehr schön zum Ausdruck, dass jedes Kind ein Geschenk Gottes ist. Daher heisst das Fest, das wir am 2. Februar feiern, Darstellung des Herrn. Jesus wird im Tempel dem Priester und dadurch Gott vorgestellt, oder eben dargestellt.
Damals war es üblich, für Gott im Tempel Opfer darzubringen, zum Beispiel Lämmer oder auch Tauben, etwas, das wir heute so gar nicht mehr kennen. Auf dem Bild sehr ihr, wie Joseph zwei Tauben mitgebracht hat. Der Priester wird Maria das Kind zurückgeben und dafür von Joseph die beiden Tauben annehmen, die er Gott zum Opfer bringt.
Das Fest heute hat aber auch noch einen anderen Namen, Mariä Lichtmess. Licht ist das Zeichen von etwas Schönem und Reinem. Mit den Lichterprozessionen, die an diesem Fest in vielen Kirchen stattfinden, wollen wir zeigen, wie rein und schön Maria ist, die als Jungfrau den Sohn Gottes geboren hat. Diese Schönheit und dieser Glanz kommen von Jesus, ihrem Sohn. Diesen Lichtglanz trägt Maria in sich und auch wir bekommen Anteil an diesem Licht, wenn wir mit Jesus leben.
So will uns das Fest heute zeigen, wie schön es ist, ein Kind Gottes zu sein, der unser Leben hell macht. Als Kinder Gottes sind wir auch Kinder des Lichtes. Das Fest ermuntert uns dazu, dass wir uns bemühen, immer so zu leben, wie es Gott gefällt.
Un livret de coloriages en forme de “missel” pour les plus petits
Mes filles étant sages tant qu’elles pouvaient dessiner, c’est ainsi que j’ai eu l’idée de ces coloriages sur le thème de la messe. Je les ai ensuite regroupés sous forme d’un livret, à la façon d’un “missel” pour les plus petits.
Après avoir été utile aux enfants de la paroisse, je pense qu’il est temps maintenant que ce livret serve à plus de monde !
C’est pourquoi je le mets aujourd’hui à disposition gratuitement, vous pourrez le télécharger gratuitement ci-dessous.
N’hésitez pas à vous en servir, et le diffuser largement autour de vous !
Les mois de mai et d'octobre sont consacrés à Marie, mais n'oublions les principales autres fêtes :
08 décembre : L’Immaculée Conception de Marie
01 janvier : Sainte Marie, Mère de Dieu
11 février : Notre Dame de Lourdes
25 mars : L’Annonciation du Seigneur à Marie
31 mai : Visitation de la Vierge Marie
16 juillet : Notre Dame du Mont Carmel
15 août : Solennité de l’Assomption de la Vierge Marie
08 septembre : Nativité de la Vierge Marie
15 septembre : Notre Dame des Douleurs
07 octobre : Notre Dame du Rosaire
21 novembre : Présentation de la Vierge Marie
Je vous invite à dire le chapelet en cliquant sur ce lien : Voir le Fichier: Chapelet_pour_enfants.doc. Ce chapelet est simple, et il ne s'adresse pas uniquement aux enfants.
Tout homme fait chaque jour des dizaines de signes, avec ses mains, ses yeux, son corps... Il salue quelqu'un, offre un cadeau, lève le poing... Les signes sont à la base de toute relation entre les personnes. C'est pourquoi Dieu donne aux hommes des signes de son Alliance : l'arc-en-ciel, la nuée et le nom.
Jésus a fait de nombreux signes pour annoncer l'amour de son Père. Il se fait baptiser comme un pécheur. Il touche les lépreux. Il va chez les publicains. Il fait des miracles. Sa vie tout entière, sa mort et sa résurrection, sont signes de la victoire de Dieu sur la mort.
Aujourd'hui Dieu donne à l'Eglise des signes de sa tendresse pour les hommes. Ce sont les sacrements. Ils sont au nombre de sept :
- le baptême et la confirmation
- la confession, l'eucharistie et le sacrement des malades
- l'ordre et le mariage.
Combien de fois peut-on recevoir les sacrements ?
- le baptême, la confirmation, l'ordre et le mariage : 1 fois
- la confession et l'eucharistie : aussi souvent que possible
- le sacrement des malades : plusieurs fois si nécessaire
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Nombreux coloriages catholiques et autres, vies de saints et homélies.
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