De nombreux pays fêtent déjà le très beau jour de la Fête des Mères.
Bonne Fête à tous.
Vous trouverez les dates de fêtes de Mères dans le monde en cliquant sur l'image ci-dessus.
Une Bonne Fête à toutes les Mamans et à la mienne tout spécialement !
Il faut s'y prendre de bonne heure, alors à vos crayons !
Gros bisous Maman, je t'aime très très fort !
La fête des grand-mères a lieu chaque année le 1er dimanche du mois de mars. Cette année cela tombe le 3 mars, alors prenons le temps de lui montrer tout notre amour.
Bonne Fête à toutes les Mamies !
Et n'oublions pas nos chères disparues, toujours dans nos cœurs !
Première légende
La légende du Rouge-gorge est liée à la mort de Jésus. Il y a fort longtemps, ce n'était qu'un modeste oiseau au plumage brunâtre. Alors qu'il voletait, il s’approcha du Christ crucifié sur sa croix. Il se posa sur son épaule, de ses ailes, il essuya ses larmes, et de son bec, il arracha les épines qui lui blessaient la tête. Une goutte de sang tomba sur sa gorge, colorant à jamais son humble plumage.
Deuxième légende
De Jésus qui priait au jardin des Pardons, un petit oiseau s'approcha. Haut sur pattes fines comme aiguilles, la plume brunette un peu olive, l'œil rond comme un cassis, il s'en venait frisant le sol, sautillant et parfois s'arrêtant pour faire une révérence. Une brise lui avait dit que cet Homme-là était le cœur fait homme. Que voulait-il bien, ce petit passereau du monde ? Il désirait visiter le cœur du Fils. Alors souriant, Jésus lui ouvrit son cœur, et le petit oiseau entra dans la cage des côtes : il y fut pris d'amour, et battit des ailes au rythme des pulsations divines. En souvenir de cette visite, Jésus lui empreignit la lumière de son sang sur la poitrine. Désormais, l'oiseau était baptisé rouge-gorge. Chaque jour, un rouge-gorge témoigne discrètement de cette sorte de légende sur la branche du temps. Qu'il en tire profit, celui qui a des oreilles pour entendre.
Troisième légende
C’était la deuxième nuit après Noël. Il faisait froid et le feu allumé à l'entrée de l'étable s'éteignait doucement. A l'intérieur, couchés sur la paille, chacun dormait en frissonnant. Le Bon Dieu, attentif du haut du ciel, interpella un petit oiseau gris et brun qui picorait à ses pieds : « Descend, et va ranimer le feu ; je ne veux pas que mon Fils ait froid ». L'oiseau s'envola et descendit vers Bethléem. Arrivé à l'étable, il s'approcha de ce qui restait du feu : un tas de cendre sous lequel couvaient quelques braises, et sur lequel restaient quelques branchages qui n'avaient pas encore brûlé. L'oiseau se percha sur une grosse bûche préparée devant le foyer et agita ses ailes. Peu à peu, sous la force du courant d'air, les cendres s'écartèrent, puis les braises se mirent à rougeoyer. Leur chaleur devint si forte que les plumes de la petite bête roussirent. Mais décidée à achever sa tâche, elle supporta la douleur jusqu'au moment où les flammes jaillirent, embrasant les branchages au dessus. La flamme réveilla Joseph, qui se leva pour nourrir le feu. Il se mit à faire bon dans l'étable. Alors, se tournant vers l'oiseau, saint Joseph lui dit : « Pour rappeler ton dévouement à l'enfant Jésus, ta poitrine gardera la couleur rouge du feu, et tu t’appellera désormais le rouge-gorge ».
Source : http://feliphoto.canalblog.com/
Légendes sur le Rouge-Gorge en PDF
Sympa le calendrier 2024 du site https://hugolescargot.journaldesfemmes.fr/activites-enfants/cartes-a-imprimer/57511-calendrier-2024-lapins-a-imprimer/
Super Calendrier du site https://www.flandersfamily.info/web/wp-content/uploads/2023/01/2024-Scrapbook-Calendar-Color.pdf
10… 9… 8… 7… 6… Tous connaissent ce décompte provoquant des cris de joie et des accolades. Au-delà de l’euphorie qu’il suscite, le jour de l’An est le résultat d’une histoire qui a, justement, traversé de nombreuses années. Bien que les « jours de l’An » tombent rarement à la même date d’un calendrier à l’autre, on remarque une certaine concordance entre les pays de la zone tempérée. En effet, la disparition de la végétation durant l’hiver et sa renaissance au printemps ont nourri le mythe très répandu de la renaissance cyclique de l’année. Il n’est donc pas étonnant qu’un grand nombre de jours de l’An soient fêtés entre le solstice d’hiver et l’équinoxe du printemps. En 46 avant notre ère, Jules César décide que le 1er janvier serait le jour de l’An. Les Romains dédient ce jour à Janus. Janvier doit justement son nom à Janus, le dieu des portes et des commencements : celui-ci avait deux faces : l’une tournée vers l’avant, l’autre vers l’arrière. En France, le jour de l’An n’a pas toujours été le 1er janvier : la nouvelle année commence à cette date lors de l’Édit de Roussillon du 9 août 1564, promulgué par le roi Charles IX. Le jour de l’An a beaucoup changé au fil des siècles pour les peuples vivant selon le calendrier solaire. Aux VIe et VIIe siècles, par exemple, dans de nombreuses régions de France, le jour de l’An est célébré le 1er mars. Sous Charlemagne, l’année commence à Noël, alors qu’au temps des rois capétiens, Pâques marque le début de l’année. Cet usage est presque général aux XIIe et XIIIe siècles, et même jusqu’au XVe dans certaines provinces. Les généalogistes des rois de France doivent jongler avec les dates en fonction des lieux pour raconter l’Histoire puisque le début de l’année varie selon les provinces. Enfin, l’édit de Charles IX mit tout le monde d’accord en fixant le 1er janvier comme la date du Nouvel An. En 1622, cette mesure fut appliquée par le pape Grégoire XV dans tout le monde catholique, notamment pour simplifier le calendrier des fêtes religieuses. En Occident, la coutume est de fêter le Nouvel An par un banquet la veille, le soir du 31 décembre : c’est le réveillon de la Saint-Sylvestre. À minuit, chacun s’embrasse, parfois sous le gui, en se souhaitant les meilleurs vœux et en multipliant les bonnes résolutions. Puis, on offre les étrennes, cadeaux de nouvelle année. Le jour de l’An est devenu une occasion de se réunir et de célébrer.
Source : mamietitine.centerblog.net sur centerblog.
Bonne Année en plusieurs langues
LANGUE | TRADUCTION |
ALBANAIS | Gëzuar vitin e ri |
ALLEMAND | Frohes neues Jahr / prosit Neujahr |
ALSACIEN | e glëckliches nëies / güets nëies johr |
ANGLAIS | happy new year |
ARABE | عام سعيد (aam saiid) / sana saiida |
ARMÉNIEN | shnorhavor nor tari |
BAS-SAXON | gelükkig nyjaar |
BASQUE | urte berri on |
BÉARNAIS | boune anade |
BENGALI | subho nababarsho |
BIÉLORUSSE | З новым годам (Z novym hodam) |
BIRMAN | hnit thit ku mingalar pa |
BOSNIEN | sretna nova godina |
BRETON | bloavezh mat / bloavez mad |
BULGARE | честита нова година (chestita nova godina) |
CANTONAIS | sun lin fi lok / kung hé fat tsoi |
CATALAN | bon any nou |
CHINOIS (MANDARIN) | 新年快乐 (xin nian kuai le) / 新年好 (xin nian hao) |
CORÉEN | 새해 복 많이 받으세요 (seh heh bok mani bat uh seyo) |
CORSE | pace è salute |
CRÉOLE | bon lanné/bonanné/ |
CROATE | sretna nova godina |
DANOIS | godt nytår |
ESPAGNOL | feliz año nuevo |
ESPÉRANTO | feliĉan novan jaron |
ESTONIEN | head uut aastat |
FINNOIS | onnellista uutta vuotta |
FLAMAND | gelukkig nieuwjaar |
FRANCIQUE LORRAIN | Proscht nei Johr / Beschte Wìnsch fer's neije Johr |
GAÉLIQUE D'ÉCOSSE | bliadhna mhath ur |
GAÉLIQUE D'IRLANDE | ath bhliain faoi mhaise |
GALICIEN | feliz ano novo |
GALLOIS | blwyddyn newydd dda |
GÉORGIEN | გილოცავთ ახალ წელს (gilocavt akhal tsels) |
GREC | Καλή Χρονιά (kali chronia / kali xronia) / Ευτυχισμένος ο Καινούριος Χρόνος (eutichismenos o kainourgios chronos) |
HAWAIIEN | hauoli makahiki hou |
HÉBREU | שנה טובה (shana tova) |
HINDI | nav varsh ki subhkamna |
HONGROIS | boldog új évet |
INDONÉSIEN | selamat tahun baru |
ISLANDAIS | gleðilegt nýtt ár |
ITALIEN | felice anno nuovo / buon anno |
JAVANAIS | sugeng warsa enggal |
JAPONAIS | あけまして おめでとう ございます (akemashite omedetô gozaimasu) |
KABYLE | aseggas ameggaz |
KURDE | sala we ya nû pîroz be |
LANGUEDOCIEN (OCCITAN) | bona annada |
LATIN | felix sit annus novus |
LETTON | laimīgu Jauno gadu |
LITUANIEN | laimingų Naujųjų Metų |
LUXEMBOURGEOIS | e gudd neit Joër |
MACÉDONIEN | Среќна Нова Година (srekna nova godina) |
MALAIS | selamat tahun baru |
MALGACHE | arahaba tratry ny taona |
MALTAIS | is-sena t-tajba |
MAORI | kia hari te tau hou |
MARQUISIEN | kaoha nui tenei ehua hou |
NÉERLANDAIS | gelukkig nieuwjaar |
NÉPALAIS | naya barsha ko subhakamana |
NORMAND | boune anna / jostouse anna |
NORVÉGIEN | godt nyttår |
OCCITAN | bona annada |
PERSAN | سال نو مبارک (sâle no mobârak) |
POLONAIS | szczęśliwego nowego roku |
PORTUGAIS | feliz ano novo |
PROVENÇAL | bòna annada / bono annado (provençal rhodanien) |
ROUMAIN | un an nou fericit / la mulţi ani |
RUSSE | С Новым Годом (S novim godom) |
SERBE | Срећна Нова година (Srećna Nova godina) |
SLOVAQUE | šťastný nový rok |
SLOVÈNE | srečno novo leto |
SUÉDOIS | gott nytt år |
SUISSE-ALLEMAND | es guets Nöis |
SWAHILI | mwaka mzuri / heri ya mwaka mpya |
TAHITIEN | ia orana i te matahiti api |
TCHÈQUE | šťastný nový rok |
THAI | สวัสดีปีใหม่ (sawatdii pimaï) |
TIBÉTAIN | tashi delek / losar tashi delek |
TURC | yeni yılınız kutlu olsun |
UKRAINIEN | Щасливого Нового Року / З Новим роком (z novym rokom) |
URDU | naya sal mubarak |
VIETNAMIEN | Chúc Mừng Nǎm Mới / Cung Chúc Tân Niên / Cung Chúc Tân Xuân |
WALLON | ene boune anéye, ene boune sintéye |
YIDDISH | a gut yohr / a guit your / a guit youai |
ZOULOU | unyaka omusha omuhle |
Source : http://www.freelang.com/expressions/bonne-annee.php
Le Poisson d’avril, tout le monde le sait, n’est autre chose qu’une attrape, un piège innocent (et bienséant, cela va sans dire) que l’on tend à quelque personne amie, parente ou familière, le premier jour de ce mois d’avril. Donner un poisson d’avril à quelqu’un, c’est lui faire faire une démarche inutile, lui annoncer une nouvelle qu’on invente, l’envoyer au-devant de quelqu’un qui ne vient pas, en un mot, se divertir un peu à ses dépens, et éprouver sa patience.
Une première origine est donnée par des ouvrages tels que l’Origine des proverbes, le Dictionnaire de Trévoux au mot Avril, ou encore le Spectateur anglais : l’expression poisson d’avril serait liée à la corruption de la passion de Jésus-Christ qui arriva le 3 avril : Jésus étant renvoyé d’un tribunal à l’autre, et contraint de faire diverses courses par manière d’insulte et de dérision, on aurait pris de là la froide coutume de faire courir et de renvoyer, d’un endroit à l’autre, ceux dont on voulait se moquer.
En effet, dans les premiers temps du christianisme, le clergé, afin de graver plus puissamment dans l’esprit des populations le sentiment et le souvenir des mystères de la religion catholique, eut recours à des représentations scéniques. Lors des grandes fêtes de l’année, le peuple venait écouter pieusement ces pièces religieuses, qui n’étaient pour lui qu’un commentaire vivant de l’évangile du jour. Rien de profane ne se mêlait à ces jeux, et ce ne fut que plus tard, au XIIIe siècle, que des éléments profanes vinrent se mêler à ces cérémonies religieuses et en modifier à la longue le caractère sacré. Dans les premiers jours d’avril avaient lieu ces représentations de la Passion, et l’assistance écoutant avec terreur, voyait le Christ, raillé et renvoyé de Caiphe à Pilate et de Pilate à Caiphe. Plus tard, l’habitude rendit la terreur moins grande, et quelques railleurs impies, en revenant le soir de l’église, s’amusèrent à répéter la scène du matin aux dépens de leurs amis ou de leurs voisins. De là, l’origine avancée de ce jeu du premier avril, et le nom de passion passant de bouche en bouche et n’étant plus guère compris, devenant le mot poisson.
Une deuxième origine fut proposée : le mois d’avril étant peu favorable à la pêche, plus d’un gourmand se serait vu, à cette époque, privé d’un plat délicat sur lequel son palais avait compté. Mais cette explication, pour suffisante qu’elle soit à justifier l’expression Manger du poisson d’avril, semble n’avoir aucun rapport avec les facéties du 1er avril.
On donne également une troisième origine, beaucoup plus récente, de cette expression : un prince de Lorraine que Louis XIII faisait garder à vue dans le château de Nancy, aurait trompé ses gardes et se serait sauvé en traversant la rivière de Meurthe, le premier jour d’avril. Certes le duc Nicolas François, frère de Charles III, duc de Lorraine, quitta son évêché de Toul et le chapeau de cardinal par politique d’État, avant d’épouser à Lunéville, au mois de mars 1635, la princesse Claude, sa cousine germaine, fille de Henri II. Puis, s’étant retiré à Nancy et ayant eu vent qu’on voulait le conduire à la cour de France, il trompa ses gardes.
Mais en réalité, le prince ne passa point la rivière de Meurthe à la nage, et sortit par une des portes de la ville, déguisé en paysan, portant une hotte pleine de fumier, de même que la princesse. Il aurait simplement délibérément choisi la date du 1er avril pour s’échapper et tromper les Français. Une jeune paysanne des environs de Nancy, qui fournissait journellement du laitage à la cour, reconnut la princesse malgré son déguisement et, l’ayant dit à quelques soldats de la garde, ceux-ci se figurèrent que cette fille voulait leur donner à tous le poisson d’avril, en les faisant courir mal à propos ; ce qui donna au prince et à la princesse le temps de gagner leurs chevaux pour se réfugier à Bruxelles, auprès du cardinal Infant. Cette évasion fit dire au peuple que le roi avait donné à garder un poisson d’avril, mais l’usage était connu au XIVe siècle, à en juger par les manuscrits du pasteur Paul Ferry relatifs à l’histoire de Metz et dans lesquels il cite déjà l’expression...
Une quatrième opinion fait remonter l’origine de la coutume au changement opéré sous Charles IX, quand l’année, qui jusqu’alors avait commencé le jour de Pâques, dut s’ouvrir le 1er janvier. Les étrennes du premier de l’an furent donc offertes trois mois plus tôt, et il ne resta dès lors pour l’ancien premier jour de l’an que des félicitations pures et simples, auxquelles les mauvais plaisants ajoutèrent des cadeaux ridicules ou des messages trompeurs.
Un des plus curieux poissons d’avril dont le bon vieux temps nous ait légué le souvenir, se déroula en 1686 et mit en scène un abbé de Caen, Michel de Saint-Martin, né à Saint-Lô en 1614, original toujours crédule au dernier point, bonhomme par-dessus tout. Ce personnage était, pour les sociétés de la ville, un divertissement que les habiles faisaient alterner avec la lecture de la Gazette de France ou du Mercure Galant. Notez que le digne ecclésiastique sacrifiait aux muses, et se proclamait un dévoué serviteur des sciences et des lettres ; mais ses ouvrages étaient à la hauteur de ses idées et de sa conduite. Il publia, entre autres, un livre bizarre, singulier, absurde, intitulé : le Moyen de vivre en santé au delà de cent ans. Or, il était difficile après cela de ne pas jouer quelque bon tour à l’auteur : les nouvelles de la cour en fournirent bientôt l’occasion.
Les gazettes étaient remplies de détails circonstanciés sur l’arrivée en France et sur la réception prochaine, à Versailles, des ambassadeurs du Royaume de Siam (ancien nom de la Thaïlande), accompagnés du premier ambassadeur français qui y avait été dépêché l’année précédente par Louis XIV, Alexandre de Chaumont. Les sociétés de Caen s’entretinrent longtemps de cet événement, qui faisait grand bruit. Notre bon abbé n’étant pas des derniers à s’enquérir des histoires merveilleuses racontées à ce sujet, il ne parla plus, ne pensa plus et ne rêva plus qu’aux ambassadeurs siamois, avant qu’une idée des plus folles ne traversât la cervelle de quelques gens du bel air, certains de trouver appui dans toute la ville, plus certains encore d’avoir un auxiliaire puissant dans la crédulité de leur victime. Le premier avril arrivait dans quelques jours. On annonça à M. l’abbé de Saint-Martin que Sa Majesté le roi de Siam, après s’être fait lire son admirable livre, avait été si charmée de l’incomparable découverte que ce livre renfermait, qu’elle avait résolu d’envoyer à l’auteur des ambassadeurs pour lui offrir le rang de mandarin et le titre de son premier médecin.
Toute la ville s’en mêla : les gens les plus graves y prêtèrent volontiers les mains, les sévères magistrats tout comme les autres. Tout fut prévu ; il y eut autorisation du roi de France pour conférer à l’abbé les hautes dignités de mandarin et d’Esculape. La mascarade fut complète. Le bonhomme dut se croire mandarin, en toute sécurité, et ce fut grand plaisir de le voir revêtu et chamarré des insignes de ses nouvelles fonctions. Mais le jour d’avril passé, l’abbé ne put croire à ce poisson d’un nouveau genre, et deux années s’écoulèrent avant qu’il voulût bien reconnaître qu’on s’était moqué de lui. En 1738, Charles-Gabriel Porée, écrivant sous le pseudonyme de Censorinus Philalethes, rassembla nombre d’anecdotes amusantes sur les extravagances de l’abbé de Saint-Martin, dans un ouvrage intitulé La Mandarinade, ou Histoire du mandarinat de l’abbé de Saint-Martin.
Source : http://www.france-pittoresque.com/spip.php?article782
Les poissons d'Avril ci-dessous sont tirés du site : http://cybermag.cybercartes.com/poissons-davril-a-decouper/
Félix est un petit chat noir malicieux et facétieux, qui vit dans sa grande maison et est toujours prêt à vivre de nouvelles aventures. Il possède un sac magique qui peut se transformer en bateau ou en avion, et qui renferme aussi une quantité infinie d'objets de toute taille, et qui se révèlent bien utiles quelle que soit la situation à laquelle il doit faire face...
Ce sac fait la convoitise du méchant Professeur, qui n'aura de cesse de pourchasser Félix pour s'emparer de l'objet magique, souvent flanqué de son acolyte Rocky la Brute... mais le petit chat peut compter sur ses nombreux amis (et notamment le savant Petit Biquet) et sur toute la malice dont il est capable...
La viticulture c'est l'ensemble des moyens mis en place pour cultiver la vigne. Chaque vigne a un parfum et une saveur particulière.
Les cépages les plus célèbres sont :
Le climat et l'environnement sont très importants pour la culture de la vigne :
l faut une température douce et sèche, une altitude de 800 mètres maximum, un sol pas trop absorbant et il faut que le soleil brille beaucoup ! Voici les éléments nécessaires à la vigne pour bien pousser. Si brusquement il y a des changements de climat comme le gel, la grêle, ou des pluies trop abondantes, le raisin sera inutilisable et on ne pourra pas en faire du vin.
Le travail des viticulteurs est aussi très important :
Il faut le savoir, la vigne est capricieuse et demande beaucoup de soins : il faut donc labourer, entretenir les sols, tailler les vignes en hiver et en été, et les traiter contre les maladies qui peuvent détruire entièrement le vignoble.
Il ne faut pas moins de 5 ans pour que la récolte soit possible. Et au bout de dix ans, la vigne produit moins de raisin mais par contre la qualité des raisins est meilleure ! De nos jours, le travail des vendanges (moment où on récolte les grappes de raisin) peut être fait de nuit grâce à des machines. Le travail des hommes est donc parfois remplacé par des machines.
Comment prépare-t-on le vin ensuite ?
Après la récolte, il faut transformer le raisin en vin. C'est cet ensemble de techniques que l'on appelle la vinification.
Les meilleurs vins (que l'on appelle aussi les crus), sont vieillis en fûts de chêne et continuent à s'améliorer même après la mise en bouteille, jusqu'à ce qu'on fasse sauter le bouchon pour les déguster !
La 4ème édition de la Journée nationale des sauveteurs en mer, appelée aussi Mille SNSM, a lieu le 28 juin 2020. En raison de la crise sanitaire liée au COVID-19, et pour garantir la sécurité de tous, les stations et centres de formation et d'intervention (CFI) de la SNSM n'accueilleront pas de public cette année. C'est virtuellement que nous vous invitons à montrer votre soutien à ces hommes et femmes prêts à vous secourir toute l'année !
Pour de plus amples renseignements, cliquez sur l'image ci-dessous :
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Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ ; toute la Gaule est occupée par les Romains… Toute ? Non ! Car un village peuplé d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Exaspéré par la situation, Jules César décide de changer de tactique : puisque ses armées sont incapables de s’imposer par la force, c’est la civilisation romaine elle-même qui saura séduire ces barbares Gaulois. Il fait donc construire à côté du village un domaine résidentiel luxueux destiné à des propriétaires romains : « Le Domaine des Dieux ». Nos amis gaulois résisteront ils à l’appât du gain et au confort romain ? Leur village deviendra-t-il une simple attraction touristique ? Astérix et Obélix vont tout faire pour contrecarrer les plans de César.
Pourquoi les hiboux ne sortent que la nuit (conte allemand)
Il y a très longtemps de cela, les hiboux étaient les teinturiers de la forêt. Ils teignaient le plumage des autres oiseaux avec des couleurs chatoyantes et tous étaient très satisfaits de leur travail consciencieux. Tous, sauf la corneille qui se pavanait du matin au soir dans son magnifique plumage blanc. Pourtant, un jour, la corneille voulut changer de couleur.
- Je voudrais que tu teignes mon plumage, dit-elle au hibou, mais je veux être absolument la seule à porter cette couleur, exigea la corneille.
Le hibou réfléchit longuement et eut soudain l'idée de la teindre en noir.
- Et voilà, dit-il fièrement, quand il eut terminé. Personne dans le monde n'a un plumage d'une telle couleur.
En voyant son plumage aussi noir que du charbon, la corneille entrea dans une colère terrible. Mais il était trop tard pour revenir en arrière.
Comme la corneille est aussi rancunière qu'elle est noire, jamais à partir de ce jour elle ne put s'empêcher d'insulter les hiboux qui passaient à portée d'aile. C'est pourquoi les hiboux décidèrent de se cacher dans la forêt pendant la journée et de ne sortir qu'à la tombée de la nuit, quand les corneilles sont endormies.
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